1. Technicienne de surface


    Datte: 13/07/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... gland contre ma rosette. Je le retire avec ma main : — J’ai dit NON. Visiblement déçu, il replonge dans mon sexe et me pilonne par derrière comme un sauvage en ahanant. Dans la bagarre, tout ce qui est sur le bureau gicle par terre. Ça fait un bruit d’enfer. Il me traite de « Pouffiasse ». Je jouis à nouveau, je n’ai jamais joui si fort… Et une fois encore, quand je le sens se vider en moi par saccades. Il se retire et me présente son sexe humide devant le visage. Elle est énorme, il veut que je lui nettoie. C’est avec plaisir que j’accède à sa demande, elle est appétissante sa queue, je la suce avec plaisir tandis que son jus coule le long de mes jambes. On entend du bruit à l’autre bout du couloir : panique, pourvu que ce ne soit pas la chef. Je remets ma blouse en deux temps et Pascal se rafistole. Ce qui n’empêche que le bureau est un vrai foutoir quand Géraldine rentre dans la pièce. En plus, ça sent le cul et ma collègue n’est pas dupe : — Alors les amoureux, lance-t-elle, avec sa gouaille habituelle. Elle me lance un clin d’œil. Pascal ne sait plus où se mettre. Il m’aide à ramasser les crayons et les dossiers. Il essaie d’expliquer à Géraldine : — Je me suis cogné dans le bureau et tout est tombé par terre— Ce sont des choses qui arrivent, répond-t-elle, sans trop se démonter. Et nous nous en retournons toutes les deux pour faire un peu de ménage. — Alors me dit-elle, c’était comment ? Il baise bien ?— Mais on n’a pas baisé.— À d’autres qu’à moi. Alors pourquoi ...
    ... es-tu toute nue sous ta blouse ? Et en plus, vous n’êtes pas très discret, vous avez fait un sacré barouf. Alors ? C’est un bon baiseur ?— Très bon baiseur.— Alors, garde-le ma vieille, c’est rare les bons baiseurs. Les mecs, c’est toujours fort en gueule, mais quand il s’agit de niquer, y a plus personne. Sur ce, nous retournâmes à la maison. Les jours qui suivirent, je n’eus pas l’occasion de me retrouver seule à seul avec Pascal. Les autres partaient trop tard ou alors Pascal partait trop tôt. Presque dix jours s’étaient écoulés et il ne s’était plus rien passé. Le dixième jour, n’en tenant plus, je décide de passer à l’action. Dès mon arrivée, je passe le voir et lui glisse discrètement un petit billet. Pas trop facile de lui parler, car ils l’avaient collé avec un autre collègue. Sur le petit papier, j’ai marqué : « Viens me rejoindre dans le sous-sol. Au fond, à droite, il y a une petite réserve, j’ai la clef ». Lorsque je le vois partir, je descends discrètement, par l’autre escalier. J’arrive un peu avant lui, j’ouvre la porte. Merde, la place est déjà occupée, c’est Géraldine et un vigile. Je suis confuse, je m’excuse, je ressors, je tombe nez à nez avec Pascal, je lui expose la situation. Il m’entraîne dans la cage d’escalier qui descend vers le second sous-sol. C’est froid, c’est bétonné et quelqu’un pourrait venir. — À poil, salope. Ses propos sont sans appel, je m’exécute passivement. — Dépêche-toi, je veux te voir à poil. Il me fait pencher contre le mur et écarter ...
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