1. Technicienne de surface


    Datte: 13/07/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... minutes, il n’en perd pas une miette. Certains de ses collègues sont encore là, je dois ressortir pour que ce ne soit pas trop louche. Je me rajuste près de la photocopieuse. N’empêche que le résultat est décevant. Il n’en sort rien, ni commentaire, ni invitation, il s’est juste rincé l’œil et m’a déjà oubliée. J’enrage. Quelques jours plus tard, je m’aperçois qu’il n’y a plus que lui dans les bureaux, c’est tellement rare qu’il parte le dernier qu’il faut profiter de l’occasion. Je suis prête à jouer le tout pour le tout d’autant plus que nous sommes seuls dans les bureaux, Géraldine étant encore partie retrouver son gardien d’immeuble. L’occasion risque de ne pas se reproduire de si tôt. Je repasse dans les vestiaires et je me mets cette fois entièrement nue sous ma blouse, ne fermant cette fois qu’un bouton sur trois. S’il ne comprend pas, c’est vraiment qu’il est bouché ! Je traverse les bureaux, je me sens complètement nue. Lui est toujours installé à sa table et pianote sur son ordinateur. Il est tellement occupé qu’il me remarque à peine quand j’entre dans son antre. Mais quand je me penche pour vider la poubelle, il a une vue plongeante sur mes seins libérés. Ah quand même, quand je tourne la tête vers lui, je vois qu’il est écarlate. Tout d’un coup, il a arrêté de travailler et me regarde évoluer. Je fais mine de rien, mais, en bonne salope je continue de lui donner du spectacle : — Alors, Monsieur Pascal, vous travaillez bien tard ce soir. Il bredouille quelque ...
    ... chose, il n’arrive même plus à parler. — Ça vous dirait un petit coup de bombe sur votre clavier ? Je suis tout contre lui. Je me penche en avant ce qui a pour effet de faire bâiller largement la blouse, lui donnant une jolie vue sur les courbes de mon corps. Va-t-il glisser sa main ? Va-t-il me caresser ? Vite, j’ai envie qu’il me baise. Vite Pascal. Je sens ses mains qui emprisonnent mes seins, qui les pétrissent, qui les malaxent. À ce moment là, je n’ai pas besoin de tendresse, j’ai besoin d’un homme qui me retourne, qui me prenne. J’ai le sexe en feu, je suis hors de moi, il me bascule sur le bureau, il arrache les derniers boutons. Son vit est déjà là, il glisse en moi. Je sens ce gros morceau de chair me remplir entièrement. Il est gros et brûlant, il me pilonne sans précaution et avec force. — Ahh salope, t’avais envie de te faire baiser. T’as le feu au cul, ma cochonne. Hummm je vais t’en donner des coups de bite, moi, je vais te l’éclater ton petit con. T’aimes ça hein, hein ma grosse vicieuse, avoue que t’aimes ça ?— Oui j’aime ça Assez vulgaire dans ses propos, lorsqu’il fait l’amour. Mais, après tout, vu ce qu’on est en train de faire, ça s’y prête assez. Tous les noms d’oiseau y passent, je suis une « pute », une « nympho », une « obsédée », une « vicelarde ». Je jouis une fois, deux fois, je n’arrête plus de jouir. À un moment, il me retourne et je sens un doigt mouillé rentrer dans mon petit trou. Je dis : — Non, pas ça . Ce qui ne l’empêche pas de présenter son ...
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