Technicienne de surface
Datte: 13/07/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... les jambes. Il m’inspecte de tous les côtés, j’ai l’impression d’être son objet. — Pourquoi n’as-tu pas voulu que je t’encule l’autre jour ?— Je n’aime pas ça— Moi, j’adore ça, alors réfléchis-y pour la prochaine fois, je n’ai pas de temps à perdre avec une Sainte Nitouche. Sur ce, il me lança ma blouse : — Rhabille-toi et arrête de mettre ces sous-vêtements ridicules. Il fait une chaleur à crever et tu es très bien nue sous ta blouse. Il est reparti sans même me toucher, en me laissant dans l’expectative. Ma première réaction a été de me dire « Mais c’est un vrai connard ce type, qu’il aille se faire foutre ». Je me suis rhabillée et je suis remontée. Tout le reste de la semaine, je ne lui ai plus parlé. Il me traite de salope, il me traite comme une pute. C’est un mec détestable. Oui, mais c’est un bon baiseur, oui, mais j’ai très envie de lui, oui, mais j’ai envie qu’il recommence. Après tout, moi aussi je veux juste baiser, moi non plus, je ne suis pas amoureuse, je veux juste passer un bon moment. Et, après tout, mon petit cul, il n’est pas non plus immaculé, j’ai déjà été sodomisée. Mais, pour une première fois, je trouvais qu’il exagérait. J’ai pensé à tout ceci pendant tout le week-end. En arrivant lundi soir, j’ai tout de suite dit à Géraldine : — Si ça ne te dérange pas, je prends la resserre aujourd’hui.— Je comprends ma choute, tu as très envie de baiser, répondit-elle en éclatant de rire. Vas-y, éclate-toi, prends ton pied, tu as toute ma bénédiction. J’étais ...
... nue sous ma blouse, elle le remarqua de suite. — Fais gaffe quand même, ne te mets pas en plein soleil, on voit que tu es vêtue très léger. Je suis allée directement dans le bureau de Pascal. Sans me démonter, j’ai dégrafé un, puis deux, puis trois boutons. J’ai écarté ma blouse pour lui montrer ma poitrine. — Rejoins-moi quand tu veux dans le sous-sol, cette fois-ci la place est libre. Puis je me suis rajustée, il était temps, quelqu’un arrivait. J’ai dû attendre encore pas mal de temps. Pascal était occupé, il travaillait avec un collègue. Je commençais à m’impatienter. Je n’avais pas la tête à travailler, juste à me faire baiser. Quand j’ai vu l’autre sortir, j’ai tout de suite pris l’escalier et j’ai filé directement dans la resserre surtout remplie de palettes de papier. J’étais comme folle, j’ai dégrafé tous les boutons pour qu’il me voie entièrement nue dès son arrivée. — Alors ma salope, tu as réfléchi à ce que je t’ai dit l’autre jour ? Tu acceptes que je t’encule.— Oui, j’accepte.— Tu es une très belle salope, avec tes seins pointus. La prochaine fois, j’aimerais que tu t’épiles entièrement Il me prit avec fermeté et me bascula sur les cartons. Surprise, le voici qui plonge entre mes cuisses et me dévore à pleine bouche, moi qui m’attendais à une saillie directe. — Oh, mais tu es déjà toute trempée d’envie, ma cochonne. Humm quelle bonne odeur de femelle, tu es vraiment une bonne salope Il lèche aussi bien qu’il baise. À ce rythme, j’ai tellement envie que je ne tarde ...