1. Tu l’as cherché 11


    Datte: 14/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Tu l’as cherché 11 - Doucement, mon ami.. Ma question ne constitue nullement une acceptation. Quelle hâte as-tu de passer à la conclusion ? Te rends-tu compte de la portée de ton fantasme? Nous sommes mariés, tu m’as offert ton corps et il m’appartient, de même le mien est-il à toi. A toi pour en user toi-même, non pour en disposer en faveur d’autres individus qui pourraient s’en servir. Comment peux-tu imaginer que tu pourrais me livrer à un autre. - Mais, si c’était Martine, tu étais prête à sauter le pas, donc… - Illusion, je m’amusais à te taquiner…Cette Martine, je l‘ai remarquée lors de nos fêtes colle un peu trop à toi,méfie-toi de cette sangsue. Mais Martine ou une autre , tu essuierais le même refus. Enfin ne te souviens-tu pas de notre première foi ?. Tu souhaitais faire l‘amour, je t’aimais, je voulais te faire plaisir. J’étais décidée, mais au moment de passer à l’acte, j’ai senti mon sang affluer sur mon visage, j’ai transpiré, j’ai été prise d’un tremblement nerveux, saisie d’une angoisse paralysante, j‘ai paniqué. Me montrer toute nue devant toi, telle que la nature m’avait faite, découvrir ma poitrine, dévoiler ma toison pubienne, te laisser regarder mon sexe avec tes yeux bouleversés de désir, me semblait impossible bien que tout en toi m’invitât à t’accorder cette faveur. J’étais amoureuse, tu étais ce que j’avais de plus cher; je voulais mais je ne pouvais pas me dévêtir, me découvrir. Souviens-toi. - Oui, mais tout cela a changé ! Tu es habituellement ...
    ... nue avant moi désormais, tu m’aides même à quitter mes habits quand tu es pressée ! Ta pudeur exagérée de l’époque a disparu. Tu es tellement différente, transformée par notre vie commune. - Me le reproches-tu ? - Non, mais… - Je suis ta femme, je n’ai plus rien à te cacher. Mais tu es privilégié et je ne vois pas comment je pourrais enlever mon soutien-gorge devant un autre homme, laisser tomber ma culotte devant un inconnu, exposer mon sexe en ouvrant les cuisses, être observée par lui comme un objet à faire crier de joie, à faire jouir jusqu’à l’orgasme. Quoi, je ne serais plus qu’un trou à boucher, un corps à envahir, chauffer, malmener pour en tirer des soupirs et des gémissements, une sorte de poupée gonflée prêtée à tel ou tel copain ? Un objet à échanger contre rémunération ou contre un autre ni plus ni moins important, un machin de collection ou une pièce de musée à livrer à la curiosité publique. Non, cela n’est possible qu’avec toi, parce que je t’aime et parce que tu m’aimes. Tu parles de « notre » vie commune, moi je ne veux pas devenir une femme commune pour d’autres que toi. - Ma chérie, il faudrait que tu abandonnes certaines vieilles lunes, des préjugés hérités du siècle dernier. Il est temps de te mettre au goût du jour, de te mettre à vivre comme le reste de la société. Bien sûr la vie de couple a ses charmes, la fidélité est un gage de durée, mais ouvre les yeux. Quand dans un couple on sait introduire des notions de tolérance, d’ouverture aux autres et de ...
«1234»