Tu l’as cherché 11
Datte: 14/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... ne crois même pas ce que tu vois ! Eh ! Bien qu’attends-tu pour toucher ? Ne te gêne pas, personne ne te regarde. Prends ce loup et cache ton visage. Allez, courage, touche, choisis et prends en un entre tes doigts, c’est une occasion unique de toucher sans avoir honte, sans qu’on te soupçonne d’infidélité. Quel mal y aurait-il à effleurer ou à serrer la bite d’un homme inconnu mais qui attend une caresse. Tiens, même moi j’en empoigne un, incognito. Allez, caresse… Oui ma chérie. C’est bien. Que dis-tu de cette autre ? Je la lâche, prends. -Ma main tremblante saisit, entoure le membre. Celui-ci sursaute, grossit aussitôt, emplit l’espace. Machinalement j’effectue à l’abri des regards un va et vient, je recommence, Alain me félicite et m’encourage encore : - Bravo, mais sois gentille avec cet homme, donne un bisou à sa queue. - Non, tu ne voudrais pas. Seigneur quel volume ! Tu crois que je peux ? C’est mal, mais j’en suis toute chose. - N’est-ce pas facile, ici, l’ambiance et propice à ce jeu. Vas-y, fais lui plaisir, oublie le monde entier, donne du bonheur à cet inconnu, le ciel te le rendra. Je dépose un rapide baiser sur le gland décalotté par le mouvement de ma main. - Mieux que ça! Pourtant tu sais si bien me réchauffer et me sucer.. Gentille, ouvre tes mâchoires et accorde lui le merveilleux souvenir d’une fellation. Les compliments, le champagne, une bouffée de désir renversent mes barrières. J’embouche, je pompe, ma langue tourne autour de la hampe de plus en plus ...
... longue, de plus en plus grosse. L’efficacité de mon oubli des conventions me trouble, j’accentue mon action, je veux savoir si je peux … hé, oui, il est possible de déclencher une éjaculation chez un inconnu dont on ne voit que ce bout de chair. J’en prends plein les amygdales, le jus déborde sur mon menton. Je tousse, je me retire. Alain m’offre un mouchoir et me félicite. Je ne me reconnais plus. - Mais toi ? - Regarde l’autre côté. Je plisse les paupières. Je m’habitue à cette demi obscurité. Les orifices sur ma gauche sont plus grands. J’aperçois des sexes de femmes, des culs blancs qui dépassent. Pour me venger j’impose à mon mari d’embrasser les cinq vulves, et de conduire la dernière au plaisir par tous les moyens. Il fouille des doigts, langotte la chatte, chatouille l’anus apparent, tente une pénétration. Hélas il ne bande pas assez fermement pour réussir une pénétration. - Mon pauvre, ce n’est pas juste. Tant pis, garde ta vigueur pour moi. Si on rentrait ? - Quoi, déjà ? Tu n’as pratiquement rien vu. - Pour aujourd’hui c’est assez. Je crois pouvoir imaginer à quoi sont dus les éclats de voix que nous entendons. Ici, on se mélange, les couples se font et se défont, tous sont disponibles pour tous ou toutes. Nous reviendrons quand tu seras capable d’enfiler une inconnue. N’insistons pas, je ne veux pas que tu sois publiquement humilié. Et puis j’ai le feu où tu sais, sois mon pompier. -Justement les lances sont prêtes ici. - Je préfère la tienne. - Alors l’expérience ...