1. Tu l’as cherché 11


    Datte: 14/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... partage, on se sent plus épanoui, plus grand…N’oublie pas cette remarque pertinente: un jour l’ennui naquit de l’uniformité. On peut l’appliquer aux relations sexuelles. - Attends, es-tu en train de m’annoncer que tu souhaites prendre une maîtresse avec ma bénédiction parce que ce serait bon pour l’épanouissement de notre couple ? Dévoile tes intentions réelles. Avoue que tu ne m’aimes plus. - Comme tu déformes ma pensée. Tu me prêtes des intentions perverses. Bien sûr que je t’aime, que je n’aime que toi. Je regrette toutefois que tu confondes l’amour et des jeux sexuels innocents destinés à faire passer d’agréables moments en bonne compagnie sans tuer l’amour entre mari et femme. Tu refuses de connaître ces pratiques agréables, simples et en vogue de nos jours; c’est bien dommage pour toi. Pardon de t’avoir offusquée, oublions cette conversation. - Viens , mon bel époux, ta protestation d’amour, me ravit. Tu n’aimes que moi, cela mérite une récompense immédiate dans un lit où nous ne serons que deux, mais où je saurai accomplir pour toi des merveilles. Et Alain dut subir une nouvelle fois les preuves d’amour méritées par sa mauvaise foi. Je lui vidai les bourses jusqu’à la dernière goutte, usant avec acharnement de ma bouche, de mes mains et de mon vagin. Quand à la fin je tirai sur son moignon de pénis, ses testicules asséchés résonnaient avec le bruit du choc de coques de noix vides. On lui téléphona le lendemain. Il jeta un regard désespéré vers mon bureau mais resta ...
    ... assis. Il sortit en soirée. Doris m’indiqua par s.m.s. qu’il était avec des copains dans un bar, en compagnie de quelques filles, dont Martine. - Il est d’une sagesse exemplaire, m’informa-t-elle juste avant son retour tardif à la maison. Il avait bu, trop bu sans doute, se coucha bien vite. Voulait-il échapper à la traite quotidienne de sperme ? Croyait-il pouvoir tromper ma vigilance ? Je le laissai dormir, mais au réveil, je lui fis remarquer qu’après une si bonne nuit réparatrice il devait pouvoir de nouveau me témoigner son amour en me prenant. Et, comme il était partisan de jeux amoureux, je lui fournis une gamme de caresses et d’amusements sexuels suffisants pour m’assurer pendant quarante-huit heures de sa fidélité physique au moins. Au bureau il se déclara fatigué, il confia à Doris le soin de répondre au téléphone. Il évitait les appels de Martine. Curieusement à partir de ce jour il s’absenta beaucoup plus rarement que par le passé et me confia une part plus importante de ses activités. Comptait-il me surcharger et ainsi calmer mon tempérament et mon comportement amoureux par la fatigue ? Je ne l’en aimais que plus à la maison; son sexe ne connaissait pas le repos, dusse-je en souffrir parfois. Je le manipulais, lui redonnais un aspect acceptable, le travaillais jusqu’à l’écoulement douloureux de ses maigres réserves. Sa gratitude exprimée cachait mal quelques sautes d’humeur que j’attribuais à sa déception d’être si peu apte à réjouir Martine ou à d’éventuels ...