Ne compte pas sur moi
Datte: 30/08/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
totalsexe,
extraconj,
... ce qu’il avait vu l’avait fortement excité. — Allons plutôt voir la pièce des gang-bangs, me dit-il.— Des quoi ?— Gang-bangs. Une salle où les filles se font prendre par plusieurs gars !— Elles les choisissent ?— Non, elles prennent tout ce qui vient. Comment était-ce possible ? J’étais curieuse de voir ça. — Tu vois le groupe au fond devant la salle ? Ceux sont les voyeurs, joignons-les.— La plupart étaient des hommes majoritairement nus, le sexe en main, visiblement inspirés par le spectacle. Au milieu de la pièce se trouvaient deux coquines en tenue d’Ève, l’une blanche, la quarantaine tassée et une autre métissée plus jeune, sculpturale, entourées d’hommes le sexe à la main. L’une et l’autre se faisaient prendre en levrette. Visiblement, chacun de ces types attendait son tour. Par moments, elles agrippaient une bite et se l’enfournait dans la gorge. Ça geignait, ça haletait bruyamment. Mon mari, manifestement, était bien tenté. Il avait le souffle court et l’œil brillant ce qui, chez lui, est signe d’extrême excitation. Je lui ai soufflé : — Pourquoi ne te mêles-tu pas à eux ?— Tu es sérieuse ?— J’ai envie de te voir avec l’une d’elles.— Tu ne seras pas jalouse ?— Pas du tout ! Comme nous faisions partie de ces rares qui étaient encore vêtus, je lui ai chuchoté à l’oreille : — Déshabille-toi, laisse tes vêtements dans le coin, je les surveillerai, et va te mêler aux autres. Il semblait incrédule. — Tu es certaine que tu ne seras pas jalouse ? Je l’ai attiré vers moi et ...
... je l’ai embrassé. — Ça me ferait plaisir ! Vas-y, fais-toi sucer ! Et d’une tape sur le dos je l’ai enjoint à y aller. Mon pauvre chéri, il s’est maladroitement déshabillé, puis tout gauche, la bite à la main il a rejoint le groupe amalgamé autour des deux gourmandes. On devinait bien qu’il n’était pas un habitué de ce genre de pratiques. Il a regardé vers moi en manque de confiance alors, d’un sourire, je l’ai encouragé. Pour ne plus le gêner, d’un pas de côté je me suis dérobée à sa vue. Je pouvais voir sans être vue. Bon sang tous ses hommes nus, leurs sexes dressés m’affolaient. Tous divergents de tailles et de formes. Et puis, la capacité des deux gourmandes me surprenait. En aurais-je été capable ? Ça geignait, ça haletait et de ma position je percevais le frottement des chairs les unes contre les autres. Mon corps entier n’était que sensations exacerbées. C’est dans cet état de tension extrême qu’il m’a semblé ressentir une main effleurer mes fesses. Je suis restée saisie. Puis de nouveau la pression s’est accentuée jusqu’à épouser leurs contours. J’aurais pu me dérober, mais une onde de plaisir m’a submergée. Dans l’état où j’étais, j’avais besoin de cette caresse. Je me suis même cambrée pour l’apprécier davantage presque contre mon gré. En un tour de main je me suis trouvée retroussée, culotte baissée au milieu de tous ses voyeurs. Quelqu’un a empoigné mes seins. J’ai écarté mes cuisses pour faciliter l’accès de mon minou à des doigts fureteurs. J’étais dégoulinante ...