1. Le joli mois de mai. 7ème partie.


    Datte: 18/07/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... liberté avec son aide, mon sexe jaillit enfin pour se retrouver dans le piège expert de ses doigts agiles. Je suis flatté par sa moue en constatant l’effet qu’elle me fait et je semble être à la hauteur de ses espérances. Elle décalotte ma verge et m’excite en promenant son pouce sur mon gland. Parfois elle s’aventure plus bas et m’enserre en me branlant énergiquement. Ses caresses me transportent littéralement et je suis obligé de l’interrompre pour ne pas franchir le point de non-retour. Je me lève et l’invite à venir s’asseoir sur la table en teck. Elle s’exécute avec grâce et, dans un geste plein de sensualité, balaie d’un revers de main sur le front ses cheveux rouges. J’écarte les flûtes abandonnées, et pose ma conquête au bord du plateau de bois pour lui administrer mes caresses préférées. Son bassin qui m’accompagne d’avant en arrière et ses petits feulements de chat me comblent d’aise. Elle aime et le manifeste de plus en plus jusqu’à l’orgasme qui l’emporte bientôt. Je ne la laisse pas reprendre son souffle et me saisis d’un préservatif pour la prendre. J’aimerai bien prendre mon temps comme avec Christelle cet après-midi même, mais je la pénètre d’une traite et sans la ménager, je lui fais l’amour à la hussarde. Elle est complètement allongée sur le dos, la table grince sur les dalles de la terrasse, ses jambes refermées dans mon dos m’entourent et m’empêchent de prendre tout mon élan entre chaque coup de queue. Nos mouvements se coordonnent assez vite, son bassin ...
    ... venant à ma rencontre pour une pénétration plus profonde encore. Elle secoue la tête de gauche à droite en poussant des gémissements de plus en plus forts et jouit dans un cri aigu. Je la pénètre de manière de plus en plus incontrôlée moi aussi et avant de jouir j’ai juste le temps de retirer ma capote pour lui gicler sur les seins en soufflant comme un âne éreinté par notre cavalcade. Nous n’avons fait l’amour que quelques minutes mais si intensément que nous en sommes surpris l’un comme l’autre. Je lui tends la main pour l’aider à se redresser et je lui sers un peu de Champagne. Elle y trempe à peine les lèvres et m’entraîne en courant vers l’intérieur de la maison en me disant d’un ton mystérieux : - « Viens, je vais te montrer quelque chose… » Le salon, mais aussi la cuisine, se sont transformés en lupanar où s’ébattent des couples mixtes ou non sous le regard fiévreux de voyeurs. Je retrouve Kathy qui est passée entre d’autres mains, entreprise par un inconnu dont j’ai oublié le prénom. Elle me voit sans me voir quand je passe devant elle, toute entière concentrée sur le plaisir que lui procure la bite qui la fouille par son orifice le plus intime. Valérie sur un sofa, chevauche telle une valkyrie, un monsieur particulièrement bien monté, à voir l’amplitude des mouvements qu’elle fait pour s’empaler dessus. Son mari à côté d’elle me salue d’un geste amical pendant que deux créatures se partagent à tour de rôle dans leurs bouches sa bite triomphante. Partout des couples, ...
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