Le joli mois de mai. 7ème partie.
Datte: 18/07/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... des trios, des quatuors s’enlacent, se baisent, se caressent, s’aspirent. Partout des cris et des gémissements retentissent entrecoupés de mots et d’injonctions plus crus les uns que les autres. Baiser, enculer, sucer, jouir, caresser, branler, aimer, sont les verbes conjugués à l’impératif que j’entends, parfois chuchotés mais le plus souvent criés. Alors que je suis en train de me demander où est ma femme dans cette partouze, Louise ouvre une porte près de la chambre où avec nos hôtes nous avons baisé hier soir. La pièce est petite, sans éclairage. On pourrait croire une penderie assez vaste mais le temps de s’accoutumer à la pénombre, je comprends où nous sommes. Une glace sans tain me permet de retrouver le petit salon et le grand lit au milieu duquel je vois ma femme comme je ne l’avais jamais vue auparavant. Je suis invisible à ses yeux, et je ne semble pas lui manquer du tout. Corinne, Pierre et David sont avec elle. Deux fauteuils voltaires nous tendent leurs bras avec de part et d’autres deux tables basses où se trouvent les incontournables préservatifs et deux sex-toys de belle taille. Devant la scène qui se déroule devant moi, je ne peux m’empêcher d’imaginer que nous n’étions peut-être pas aussi seuls que nous le pensions, hier soir avec nos amis. Quelqu’un se cachait-il derrière la vitre sans tain, et qui ? Ma femme, Corinne, Pierre son mari et David avaient visiblement fait plus ample connaissance depuis mon escapade avec Louise. Christelle complètement nue ...
... regarde allongée sur le côté David et Corinne faire l’amour. Dans son dos Pierre caresse avec beaucoup de douceur ses seins et son ventre, s’aventurant parfois au niveau du pubis. Les gestes de ce bel homme, sont très lents comme des préliminaires. C’est un peu comme s’ils regardaient en couple un film érotique en direct dans leur lit. Le son de leurs ébats nous parvient par deux petites enceintes placées de part et d’autre du miroir. La scène est effectivement assez captivante : grand, mince et noir ébène, David prend en levrette la petite Corinne, blonde comme les blés. Le visage maintenu en arrière par son cavalier qui lui attrape les cheveux, elle est comme en extase. Les yeux fermés, elle prend pleinement la mesure du sexe qui la possède. Une verge très longue entre et sort sans ménagement de son sexe offert. Les reins cambrés à l’extrême, toute en courbes et en formes pleines, elle s’abandonne à cet homme au corps sec et bien dessiné. Chacun de ses muscles semble n’avoir pour fonction que de pénétrer. Tout entier tendu vers elle, il ressemble à un danseur d’une compagnie de danse moderne dont le seul mouvement serait celui d’un piston qui inlassablement et avec une précision de métronome, coulisse en elle. Ce ballet hypnotique met en émoi Christelle qui commence à ouvrir le compas de ses jambes pour permettre à son amant niché derrière de la fouiller plus avant. Comme s’il n’attendait que ce signal, sa main droite laisse la place à son sexe tendu qui, protégé d’une capote, ...