1. Ancestor, épisode 4/6


    Datte: 18/07/2019, Catégories: fh, grp, Collègues / Travail fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, jeu, extraconj, jeux,

    ... enregistré sa tenue légère. Anne-Marie entreprit de rassembler les tasses vides qui traînaient un peu partout. Penchée à la hauteur de Fassin, elle lui laissa le temps d’apprécier son généreux décolleté, avant de reprendre son plateau plein et de déclarer avec un charmant sourire : — Il n’y a plus de tasses dans la cuisine. Ne te dérange pas, je reviens tout de suite chercher celles qui restent. Elle sortit avec une démarche ondulée légèrement déhanchée, et je dus vite me cacher lorsque Fassin se retourna pour poser son regard sur son postérieur et ses jambes nues. En revenant de la cuisine avec son plateau vide, elle me fit un petit clin d’œil et déboutonna encore un peu plus sa chemise avant de pénétrer à nouveau dans le bureau de Fassin. Les tasses qui restaient se trouvaient du côté de la fenêtre, derrière lui. Il fut obligé de reculer un peu sa chaise pour la laisser se faufiler. Elle prit tout son temps. Lorsqu’elle se pencha, cela découvrit une partie de son dos et le haut de ses cuisses. Il la toucha au niveau des fesses. — Holà ! Il faudra attendre demain mon chou ! Tu es impatient ?— Non…— Menteur, tu es déjà tout dur ! Je ne pouvais pas voir ce qu’elle faisait exactement, mais c’était au niveau de l’entrejambe de Fassin. — La bête m’a l’air d’être en pleine forme ! Je me réjouis pour demain… tiens, pour lui donner un peu l’eau à la bouche… Fassin se laissa faire ; son expression changea au fur et à mesure, passant de l’hébétement à la béatitude. Le visage ...
    ... d’Anne-Marie disparut de mon champ de vision lorsqu’elle se mit à genoux. Puis elle se redressa brusquement, affichant une expression de dégoût : — Mais ! Tu ne t’es pas lavé !— Si… hier, fit-il d’une petite voix hésitante. Viens…— Non, non, ça suffit. En essayant de se relever, elle heurta une tasse, qui tomba et roula sur le plancher. — Zut ! En plus il restait un fond de café. Elle prit un chiffon sorti d’on ne sait où et se mit à quatre pattes pour nettoyer la tache de café. — Mais où est donc la petite cuiller ? Elle a dû glisser sous le bureau… Fassin était complètement hypnotisé. Il se mit à genoux derrière elle, passa ses mains sous sa jupe et lui caressa les fesses, les hanches, le ventre ; elle ne protesta pas, apparemment toujours à la recherche de la petite cuiller. De fil en aiguille, Fassin dut se dire que ces fesses qui remuaient contre lui étaient là pour lui et qu’il n’avait qu’à les prendre ; il sortit son membre viril, lui écarta légèrement les jambes et se mit en position. — Aïe ! Ça fait mal ! Qu’est-ce que tu fais ? Elle se releva et reprit son plateau. — J’espère que demain tu te montreras plus délicat… et plus propre ! Elle fit une sortie théâtrale, le laissant interloqué, pantois, pendant. Elle me prit par le bras et m’entraîna jusqu’aux toilettes. Nous nous enfermâmes dans l’un des deux cabinets et nous laissâmes aller à un bienfaisant fou-rire. — Attends, dit-elle après quelques minutes. Chut… Nous fîmes silence, pouffant et gloussant comme des gamines. Puis ...
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