1. Ancestor, épisode 4/6


    Datte: 18/07/2019, Catégories: fh, grp, Collègues / Travail fdomine, humilié(e), vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, jeu, extraconj, jeux,

    ... rater la séance ; puis, j’avais mangé au restaurant pour me faire plaisir. Il me dit que j’aurais au moins pu téléphoner. J’allai vite prendre une douche, essayant en vain de me sentir propre. Lorsque j’entrai dans la chambre vêtue d’un simple peignoir, Hérald en profita pour m’attraper, m’embrasser et caresser ma peau nue de manière insistante. Je n’eus pas la force de résister. Il me mit à quatre pattes sur le lit et me prit par-derrière, sans violence mais sans grands égards non plus, comme s’il avait deviné que, cette fois-ci, je ne me plaindrais pas. Je feignis le plaisir au moment de son orgasme. Il me prit ensuite dans ses bras et me remercia pour cette faveur, disant qu’il avait besoin de tels moments de détente après ses dures journées à l’hôpital. Il ajouta même : — Pourquoi ne faisons-nous pas l’amour plus souvent ? Ça ne coûte rien, c’est agréable, et ça nous rapproche. Cela acheva la destruction de mon estime de moi-même. Je parvins quand même à lui faire un semblant de sourire, tandis que, dans l’obscurité, il ne vit pas la larme qui perlait au coin de mon œil. Je ne sais plus ce que je fis le lendemain, un travail de routine probablement, ou peut-être rien du tout, peut-être que je restai seulement à contempler un écran d’ordinateur, le regard vide, maniant le curseur d’une fenêtre à l’autre, sans but. Le mardi matin, vers dix heures, Anne-Marie passa devant mon bureau. — Tu viens prendre la pause-café ? Constatant mon absence de réponse, elle prit une ...
    ... chaise et s’assit auprès de moi. — Qu’est-ce que tu as, toi ? Tu n’es que l’ombre de toi-même ces temps-ci.— Rien. J’ai l’esprit un peu embrumé, c’est tout. Ce doit être à cause de la pluie. Elle me regarda un moment, secouant légèrement la tête. J’éclatai en sanglots et elle me prit dans ses bras. Je lui racontai comment Fassin avait abusé de moi. Elle me comprit. C’est alors que je me rendis compte à quel point j’avais été seule, depuis si longtemps, sans que personne ne me considère vraiment, avec cette attention simple que l’on porte à un autre être humain. — Attends, dit-elle, tu vas voir, il ne va pas s’en tirer si facilement.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Que je compte bien lui jouer un petit tour à ma façon. Hmmm… oui, je sais ce qui pourrait marcher. Je contemplai, estomaquée, Anne-Marie en train de déboutonner les deux premiers boutons de sa chemise. Elle me fit un petit clin d’œil et fit glisser ses collants ainsi que sa petite culotte le long de ses jambes, pour les ranger ensuite dans son sac. Elle portait une jupe fendue sur le côté. — Suis-moi. Nous nous rendîmes dans la petite cuisine où se trouvait la machine à café. Elle prit simplement un plateau et se dirigea ensuite vers le bureau de Fassin. — Reste là et observe en cachette. Elle frappa à la porte et ouvrit sans attendre. Fassin, comme d’habitude, était rivé à son écran ; il jeta un bref coup d’œil inquisiteur à l’intruse, puis un second coup d’œil curieux un tout petit peu plus long, son cerveau ayant ...
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