Je l'attends - Histoires de Sexe

Je l'attends

... J’entends claquer les boutons pressions de sa robe et elle vient s’asseoir, cuisses écartées, à cheval sur mes genoux. Ma chemise subit le même sort que sa robe, et sa bouche, sur mon torse cherche un sein, le trouve et commence à le sucer, le mordiller. Je me tords en deux sous la caresse impulsive et subite. Elle parcourt, du bout des doigts, l’intérieur de mes cuisses ouvertes et remonte jusqu’au gode, entre mes fesses. Là, elle le renfonce d’un coup et me poignarde par surprise. Je pousse un cri soupirant, un "non" et un "oui" à la fois. Et je me mets à bander. Elle joue avec ma queue et mes couilles, je me tends sous sa caresse, pendant au bout des chaînes, cherchant sa bouche pour un baiser gourmand. C’est terriblement délicieux ! Diaboliquement divin !! Je me sens emporté, livré à ses folies, et incapable d’imaginer que les meilleurs supplices restent à venir. Elle m’abandonne un instant, je me rassieds, et, soudain, je sens comme une fulgurance métallique me déchirer la poitrine, laissant couler un ruissellement glacial. Le même éclair jaillit entre mes cuisses, en remontant le long de mes couilles. Je me cambre, tétanisé. Je sens ses seins gonflés sous le body danser devant mes yeux bandés. Au hasard, je gobe un téton et le mordille en me tordant sous ses assauts. Elle entaille méthodiquement la fièvre qui m’habite. Ces délicieuses brûlures, elle me les applique avec un glaçon, qu’elle promène sur ma peau, mes tétons, entre mes cuisses, sur mes couilles. À chaque ...

... contact, je sursaute et le gode me rappelle à l’ordre. Sensation de surprise cuisante et de plaisir sensuel mêlés. Puis, elle me fait lever, me tourne lentement face au cadre de la fenêtre où mes chaînes me retiennent entravé. Alors, elle me mordille sauvagement les tétons avant d’y appliquer des pinces à seins, reliées par une longue chaînette, qu’elle fait passer sous mes couilles. Ma peau est sollicitée de toutes parts. Sur tout mon corps, je ressens son envie de me faire subir sa volonté, de me soumettre à ses désirs de domination. Je me penche en avant pour réduire la traction des pinces. Mais elle n’a aucune pitié, elle me fait reculer, les fesses bien cambrées. Ce qui a pour effet de tendre la chaînette dorée qui me tire délicieusement les seins. Elle a l’art et la manière pour conjuguer plaisir et douleur. Je suis en équilibre sur la pointe des pieds, suspendu aux bracelets, les reins tendus autour du gode planté profond dans mon cul. Elle passe langoureusement sa main entre mes fesses, au passage, appuie légèrement sur le gode qui m’habite (au sens littéral du terme : qui est dans son logement habituel !!). Un subtil effleurement de mes couilles me fait bander et elle en profite pour tirer doucement la chaînette de mes seins. C’est un tourbillon de plaisirs vicieux et de ravissantes douleurs !! Et soudain, je sens mes fesses lacérées par un contact inconnu, doux et cinglant à la fois. Elle me fouette. Doucement d’abord, puis les coups se font plus appuyés. Entre mes ...