Je l'attends - Histoires de Sexe

Je l'attends

... cuisses, sur les couilles, les langues de cuir viennent mordre ma peau la plus sensible. Je suis fou de folie lubrique, j’en veux encore. Ouii !! Je m’abandonne totalement à la violence de son désir. Je me fais fouetter le cul comme un esclave ! Je suis son Mec !! Sa chose sexuelle ! Entre deux coups de martinet, d’un coup sec du bassin, elle m’encule en plaquant son ventre contre mes fesses. Je râle de me sentir défoncé. À chaque coup de boutoir, elle me ravage le cul. Je crie, je hurle !! Je la sens excitée, emportée par ses audaces. J’imagine son entrecuisse humide, ses seins gonflés et tendus de désir, sa chatte brûlante et trempée, ouverte à ma bouche gourmande. Je suis sûr qu’à cet instant précis, elle aimerait être embrochée par une queue vigoureuse qui lui ramonerait le bas-ventre, en écho à ses coups de reins dans mon cul. Elle se défoule en moi, elle me fouille profondément, pour bien me faire ressentir sa domination sur moi. Ma queue de mâle n’est plus le symbole de la suprématie macho. C’est elle qui bande fièrement et me perfore l’anus. C’est elle qui m’arrache des cris de douleur mêlée au plaisir dans une sodomie furieuse. Elle me fait sentir qu’elle aussi, adorerait avoir une bonne bite bien raide pour m’enculer. Et que ses pulsions énergiques de pénétration se marient à merveille avec mon abandon total, mon envie d’être pris à fond, comme une chienne. Enfin, elle décide de s’interrompre et me détache. Je ne sens plus mes poignets endoloris, mes tétons ...

... triturés et pincés. Je ne sens plus mes jambes. Je ne suis plus qu’un cul nu, ouvert et offert à ses envies de défonce totale. Elle me fait mettre à quatre pattes, le cul en l’air, comme un chien en chaleur. Elle dégrafe ma ceinture qui retenait le plug et le retire doucement. Je sens qu’elle m’introduit quelque chose dans mon cul ouvert, çà glisse et rentre doucement. Je ne sais pas ce qu’elle m’enfile, ses doigts ou un petit gode ou autre chose, mais c’est délicieusement excitant. Puis subitement, je sens comme une rafale qui me vrille l’anus. Je suis comme déchiré de l’intérieur. Ce n’est pas vraiment douloureux, mais surprenant et je comprends subitement ce qu’elle m’inflige : elle m’a introduit un chapelet de cinq petites billes de bois, une à une, puis elle a tiré fermement sur la petite ficelle pour faire ressortir le tout. Sous l’effet du chapelet, mon cul se referme un peu plus à chaque bille et je râle de plaisir sous le coup de la surprise et de l’intensité de ce contact. Puis elle recommence plusieurs fois ce manège, à chaque fois, elle enfonce plus profond, et retire plus violemment le chapelet. C’est délicieux et insoutenable en même temps ! La sensation résonne dans tout mon corps, comme une transe. C’est ensuite, comme un assaut collectif. Je sens mes fesses défoncées par une procession de godes, des longs, des gros, des lisses, des profonds. Je suis pénétré, fouillé par une armée fantôme. Puis, elle vient s’allonger, cuisses écartées, devant moi, et m’ordonne de ...