Un ! Deux ! Trois ! Soleil !
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
inconnu,
vacances,
hotel,
caférestau,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
fdanus,
jeu,
init,
... enlever mon tee-shirt ici, devant tout le monde, pour entreprendre une opération de nettoyage. Imaginez la scène ! Que penseraient les gens autour de nous du spectacle d’un gars torse nu, qui commence à faire une lessive… Sara en convint. Sans se dégager tout de suite de la main posée sur son bras. Elle prit néanmoins les devants : — Je vous permets de m’accompagner, mais promettez-moi de vous conduire en vrais gentlemen. Je vous en prie…— Sara, vous n’avez rien à craindre, nous saurons nous tenir, jurèrent les deux d’un même élan. Ils quittèrent la terrasse. Accompagnée, elle gagna sa chambre. Elle tenta de paraître le plus naturel et le plus digne possible, malgré les pensées qui s’entrechoquaient dans sa tête. « Je n’ai rien fait de mal ! » « Ils resteront corrects ! » Elle se rendit compte avec horreur et délectation qu’elle n’était sûre de rien. Secrètement, une curiosité malsaine et feutrée la poussait à attendre avec délice la suite des évènements, sans les condamner ni les repousser d’emblée…Le champagne instillait en elle un bien-être propice à la chute des certitudes, une euphorie fatale aux tabous. Elle s’avoua que leur présence près d’elle lui plaisait plus qu’il n’était permis. Ils marchaient d’un pas souple et assuré. Il se dégageait d’eux une aura de virilité qui réveillait sa sensualité et battait en brèche ses bonnes résolutions. Elle se gourmanda : il n’en était pas question ! Ils parvinrent à la chambre ; elle ouvrit, et marqua un arrêt sur le seuil en ...
... se tournant vers eux. — Sara, dit Michel, nous n’allons pas rester dans le couloir. Imaginez qu’on nous voit ! Les gens ne manqueront pas de faire des commentaires…— Soit, répondit-elle, entrez. Mais tenez-vous sages, comme vous l’avez promis. Je compte sur vous ?— Mais oui, Sara, mais oui… Ils entrèrent. La pièce parut encore plus accueillante à Sara qu’à son arrivée. Un éclairage tamisé lui donnait une touche intime et chaleureuse. Sara referma la porte de la chambre et se dirigea vers le placard. Les deux hommes la rejoignirent et se postèrent près d’elle. Ils portaient en eux ce calme d’avant la tempête. Pas une parole, pas un geste. — Voilà, dit-elle en décapsulant le flacon. Mais…— Mais quoi ? demanda Marc.— Il faudrait enlever le tee-shirt, ce serait plus simple pour nettoyer. Je suis un peu gênée de vous demander ça..— Absolument pas, Sara, il n’y a pas de mal. Michel tira lentement le vêtement par-dessus sa tête puis le tendit à Sara, qui le prit machinalement, sans quitter du regard le torse dénudé. Elle se reprit et s’occupa de la tache, mais ne parvint pas à retenir son attention sur son travail. « Quel mec ! » « Ses muscles ! » « Dans des bras pareils, je ne résisterais pas ! » « Et… à poil, il serait comment ? » Les deux hommes s’étaient rapprochés pour suivre plus attentivement le travail de Sara. Elle sentit leur souffle contre ses épaules, contre son cou. Elle s’absorba nerveusement dans son ouvrage, comme pour fuir l’inéluctable. Et brusquement, ils furent ...