La lettre anonyme et Léa la factrice
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Lesbienne
... dans le plus intime : comment nous nous étions rencontrées, notre premier baiser, la première fois que nous avons fait l’amour. À mon grand désespoir, Isabelle expliquait tout tandis que je rongeais mon frein de frustration et de gêne. Mais pourquoi donc Isabelle avait cette manie de tout dévoiler sur nous avec autant de détails ? Isabelle était faite ainsi, et mes réflexions n’y changeaient rien. Elle retenait cinq minutes sa pudeur puis le naturel reprenait le dessus, dévoilant des choses gênantes pour moi. Léa jouait avec mon désarroi, m’envoyant de petits regards rieurs quand Isabelle donnait des détails croustillants. Léa posait plein de questions en me souriant, jouant le jeu d’Isabelle qui ne demandait rien d’autre que de parler plus. Au bout d’une heure ou deux, je fis dévier la conversation sur Léa, l’invitant à nous parler d’elle à son tour. Elle nous parla de son amoureux, un jeune homme de bonne famille obsédé par la réussite sous toutes ses formes, autant en sport qu’à la fac de médecine. Elle nous parla de ses parents, fonctionnaires relax qui cherchaient à en faire le moins possible. De son éducation par sa grand-mère baba cool qui était restée bloquée dans les années 68. De ses congés tous les étés avec sa grand-mère sur l’ile naturiste du Levant, un endroit dont nous avions entendu parler. À peine avais-je mentionné le fait que nous avions envie d’y aller que Léa retira son maillot, visiblement ravie que nous n’ayons pas d’objections à sa nudité totale. — Je ...
... n’osais pas vous demander, les filles, mais on est si bien nue sous un soleil de fin de journée. Et puis j’aime pas les traces du maillot. Léa replongea dans la piscine en nous éclaboussant. — Venez me rejoindre à poil, les filles, c’est cool ! Isabelle et moi échangeâmes des regards complices. Léa était si naturelle et gentille qu’on ne pouvait rien lui refuser. Nos maillots finirent vite au sol, et c’est en se tenant la main pour une bombe groupée que nous rejoignîmes Léa dans la piscine. Après une autre heure de jeux, le ventre de Léa appela au secours pour le dîner ; je les laissai donc continuer à parler tandis que je fonçais en cuisine nous préparer un vrai repas : brochettes de bœuf thaï et salade de quinoa aux choux rouges. Le tout fut dévoré rapidement tellement nous avions faim. La bouteille de rosé nous parut si petite que je dus en ouvrir une autre. Alors que je servais la seconde bouteille, Léa fit une réflexion sur mon épilation totale. Je trouvai cela mignon et la discussion porta sur des trucs de filles jusqu’à la salade melon-pastèque. En finissant de débarrasser la table je vis qu’Isabelle massait le dos de Léa sous l’abri tout en continuant à parler de choses et d’autre. Léa s’était déjà plainte de ce mal de dos, et comme Isabelle était kiné je trouvai normal qu’elle la masse. Mais bon, elles étaient nues toutes les deux et j’étais un peu jalouse, je dois dire. Alors en apportant les verres de rosé restés sur la table je me plaignis à mon tour d’un mal de ...