La lettre anonyme et Léa la factrice
Datte: 20/07/2019,
Catégories:
fff,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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Lesbienne
... dos pour qu’Isabelle me masse et oublie le petit corps de Léa pour se concentrer sur le mien. — Viens ici, ma grande jalouse. Émilie déteste me voir masser une autre qu’elle ; pourtant je fais cela toute la journée.— Tu peux me montrer comment masser un peu, s’il te plaît ? poursuivit Léa. Je suis sûre que mon chéri va adorer. Isabelle, toute fière de pouvoir partager la passion de son job, m’utilisa comme cobaye pour donner un cours de massage à Léa, l’invitant à reproduire ses mouvements. Je connaissais bien les mains chaudes d’Isabelle et ses doigts souples. Le contact des petits doigts courts, énergiques de Léa étaient un changement total. Je sentais le côté inexpérimenté de Léa et sa soif d’apprendre. Elle était trop chou ! Isabelle connaissait les zones érogènes de mon corps et profita de la situation pour les réveiller sans rien dire à Léa. Je sentais bien qu’Isabelle riait au fond d’elle sans n’en rien dire. Mon hypersensibilité au cou était vraiment mon point de fragilité. Isabelle, pour apprendre des gestes à Léa, se positionna de telle façon que ses seins venaient frôler, toucher et caresser mon cou. Une vraie torture pour moi ! Me sachant excitée, Isabelle m’invita à me retourner sur le dos. J’eu un peu de mal à cacher mon trouble. J’ai des seins en forme de citron/poire et mes tétons gonflent de façon un peu disproportionnée quand je suis excitée. Isabelle me connaissait trop bien pour que je puisse lui cacher cela. — Tu vois, Léa, tes caresses on fait un bel ...
... effet sur mon Émilie. Regarde-moi donc ces petits tétons bien durs. Elle est super excitée, la coquine. Puis écartant mes jambes, elle passa un doigt sur mon sexe et me fit tressaillir. — Et en plus toute mouillée, la coquine. Ne sachant que dire ni que faire, j’avais depuis longtemps fermé les yeux. Quelques secondes de silence interminable pendant lesquelles mon cœur battait à tout rompre, puis la divine sensation de la langue chaude d’Isabelle venant me lécher le téton droit. Mon corps se figea. J’étais tétanisée, quand soudain une autre langue vint jouer avec mon téton gauche. Une langue plus ferme, plus présente, plus énergique, définitivement celle de Léa. C’est ainsi que la soirée partit dans des choses très intimes au son de musiques incroyables et de bougies. Des plaisirs qui durèrent toute la nuit mais aussi tout le lendemain car nous étions dimanche. Ce fut un week-end incroyable et mémorable. Tout en finesse et en élégance, tout en jeux et en respect, tout en écoute de l’autre et en partage. Tout semblait naturel et apaisé. Une relation non complexe d’un grand équilibre généreux. Un de ces moments de vie où l’on souhaite que le temps s’arrête. * * * Le lundi matin Léa commençait sa tournée à la poste à 7 heures et était partie très tôt. Nous commencions notre travail plus tard. Léa avait dressé pour nous la table du petit déjeuner avant de partir bosser. Une table magnifique avec fleur coupée du jardin, thé, beurre, confiture, yaourt, salade de fruits frais, toast ...