1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... mais que caroline dormait effectivement la tête dans le creux de mon épaule, un bras en travers de ma poitrine et une jambe sur mon bas ventre, me compressant la vessie.La soudaineté de la révélation me fit me redresser légèrement ce qui réveilla Caroline. Elle eut visiblement les mêmes difficultés pour se situer et soudain elle écarquilla les yeux, s’écarta vivement.– Oh merde ! Désolée.– Y’a pas de mal, bien dormi ?– Pour des gens qui ne devaient pas se toucher s’est raté.– C’est pas grave, on est des adultes responsables n’est-ce pas ?Nous nous sommes préparé chacun de notre coté, avons pris le petit déjeuner ensemble, comme si rien de particulier ne s’était passé et nous avons pris le chemin des salles du séminaire.Pendant la journée, nous n’étions pas forcément dans les mêmes ateliers et nous ne nous revîmes que le soir pour un dîner en tête-à-tête.La discussion porta surtout sur le boulot et sur le séminaire puis glissa peu à peu sur nos vies respectives et étant donné notre relative intimité, nous avons abordé des thèmes plus personnels tels que nos relations de couple.Apparemment, ça marchait fort avec son mari et ils envisageaient d’avoir un enfant dans l’année. De mon coté, je lui racontais comment tout allait bien pour nous (c’est la vérité) et cela sembla la rassurer.D’un commun accord, nous avons cependant décidé de cacher à nos conjoints respectifs le fait que nous faisions lit commun, il n’était pas nécessaire d’exacerber la jalousie naturelle de ma Dorothée ...
    ... alors que tout cela se faisait en tout bien tout honneur.Nous avons d’ailleurs décidé de garder le secret vis-à-vis de tout le monde et notamment au bureau où je n’avais pas envie de subir pendant dix ans les allusions graveleuses de Gilbert.Nous avons passé la fin du repas à parler des joies ( parfois toutes relatives) de la paternité et de la maternité et avons décidé de nous couché tôt pour assimiler une première journée fatigante et préparer la suivante qui promettait de l’être tout autant.Au retour dans la chambre, j’ai eu droit, comme la veille, à mon petit défilé de nuisette que j’appréciais toujours beaucoup, je pense qu’elle s’en est aperçue mais elle a continué de vaquer à ses occupations, j’étais apparemment devenu un bon pote. Je pus donc reluquer ses ganbettes presque librement en faisant à peine mine de lire un bouquin (que j’avais quand même mis dans le bon sens).Ensuite extinction des feux, chacun de son coté, comme un vieux couple.Seulement, étant moins mort de fatigue que la veille, j’ai eu un sommeil un peu plus léger et j’ai pu me rendre compte qu’elle avait, elle, le sommeil agité, parlant, sursautant, se tournant, se retournant. A plusieurs reprises, je me suis fait réveiller par une main, un bras ou une jambe arrivant sur moi. Au milieu de la nuit, elle me caressa la poitrine en gémissant « chéri ». Je restais de marbre. Quel gentleman ce Christophe.Jour 3 – Mardi.Le deuxième réveil fut moins vaseux mais tout aussi agréable. Caroline était de nouveau ...
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