1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... galanterie (foutue galanterie) m’interdisait de le laisser à Caroline. Etonament, cette situation la rendait hilare, elle me dit qu’on trouverait un moyen de dormir confortablement quand-même.Je la laissais defaire ses bagages et sortait au plus vite vérifier les dires du réceptionniste et le taux de remplissage des hôtels du voisinage.Au bout d’une heure j’ai dû convenir qu’il avait raison et je suis rentré passablement abattu.Caroline était en train de se doucher et je commençais à faire contre mauvaise fortune bon cœur en essayant d’arranger au mieux le canapé rouge.Lorsqu’elle est sortie, j’ai eu droit au premier lot de consolation de cette situation ubuesque : Elle était en nuisette descendant à mi-cuisse sous laquelle pointaient deux petits tétons revigorés par la douche.Cette vision me remit de bonne humeur et je repris mes activités de déballage (pas de mon petit matériel, rassurez-vous) tout en lui narrant mon expédition de la dernière chance et en ne manquant pas, dés que possible, de jeter un regard rapide sur ses formes avenantes. Elle parassait à son aise et semblait trouver la situation tout à fait naturelle, déambulant en toute simplicité dans la pièce, séchant ses cheveux à l’aide d’une serviette ce qui faisait se trémousser ses petits seins rendus à leur liberté. Elle finit par s’asseoir en tailleur sur le lit et comme je continuais à m’affairer je pu, sous un certain angle, nettement distinguer le blanc d’une chaste petite culotte de coton couvrant son ...
    ... entre-jambes. Mon coté épicurien trouvait ce soir là une bonne occasion de sépanouir.Après ma douche nous avons décidé d’un commun accord d’éteindre très vite la lumière pour récupérer un maximum. Dans le noir j’essayais d’optimiser ma position dans le canapé sans grand succés.A ma première chute (au bout d’un quart d’heure) Caroline pouffa et dit « je compatis », à ma deuxième chute (dix minutes plus tard et non intentionnellement je le précise), elle me dit plus sérieuse « A ce rythme, tu ne va pas dormir de la nuit, c‘est ridicule Christophe, le lit est assez grand pour nous deux, on est des adultes responsables, ce n’est pas parce qu’on va s’alonger côte à côte que l’on va se jeter l’un sur l’autre comme des ados post pubères.J’ai un T-shirt et une culotte, tu gardes ton caleçon, on ne va pas se toucher, on va dormir chacun de son côté ».Elle avait raison, je me suis alongé à coté d’elle, elle m’a tourné le dos et éteint la lumière.Je n’aurais pas su dire si j’étais déçu ou rassuré par sa tirade, toujours est-il que j’étais harrassé et que je me suis endormi d’un bloc aux cotés de mon beau petit lot.Jour 2 – Lundi.J’ai dormi comme une souche ; au petit matin mes sensations m’envoyaient des signaux contradictoires : d’un coté je me demandais où j’étais, d’un autre je ne me demandais pas avec qui j’étais puisqu’une tête blonde habituelle dormait sur mon épaule.En quelques secondes, mon cerveau fit la mise au net et je réalisais que la tête blonde n’était pas du tout habituelle ...
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