Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... maintenant ! »Les gars me regardèrent avec hargne et ironie.« – Eh Oh ! T’es pas son mec ! »« – Ben alors, ça va pas ? T’inquiètes pas, y en aura pour tout le monde ! »« – Tu comprends pas qu’il veux pas partager, il la veux pour lui tout seul le salaud ! »Voyant que cela n’allait pas être facile de nous en aller comme ça, je sortis mon argument massue, le plus gros bluff de ma vie :« – Gros cons ! Je suis son père ! »Et profitant du moment libéré par leur stupéfaction, j’empoignai Caroline qui heureusement se laissa faire, je lui rabaissai sa robe, lui rajustai son bustier et nous pressai vers la sortie sans me retourner. Je pris les manteaux au vestiaire et essayait de vêtir rapidement ma collègue. Nous sortîmes dans la nuit glaciale sans être rattrapés. La révélation avait dû les dégriser.Caroline, elle, était loin d’être désalcoolisée, elle titubait et je devais porter la quasi-totalité de son poids alors que moi-même j’avais ingurgité largement ma part. A nous deux, on aurait fait exploser un alcotest polonais. Cahin-caha, nous avons traversé la ville endormie en tenant des propos d’ivrognes de moins en moins intelligibles.Jour 4 – Mercredi – Dans la nuit.Arrivés péniblement jusqu’à notre chambre, je l’ai faite s’asseoir sur le lit. En tanguant, elle me dit :« – Aideees-moooi à meee déshaaabiller » puis s’effondra en arrière, en travers du lit.Ses derniers mots compréhensibles furent : « Chériiiiii, fais-moi l’amouuuur ! »J’étais suffisamment excité par tout ce que ...
... j’avais vu au club pour avoir envie de lui obéir, cependant, je savais que cela ne m’était pas adressé personnellement. Je fis donc le sourd.Je me déshabillai pour la nuit, ne gardant comme toujours que mon caleçon.Ceci fait, ne pouvant la laisser comme ça, je lui ôtai ses chaussures puis m’attaquai à son manteau. Son déshabillage était difficile car elle était devenue une poupée de chiffon ne faisant rien pour m’aider. Comme de mon coté, l’alcool rendait mes gestes imprécis ce fut une galère.Pendant ce temps, insensible à mes efforts, la belle s’était endormie d’un sommeil de plomb.Enlever sa petite robe noire fut plus facile et beaucoup plus agréable. Je passai mes mains derrière sa nuque gracile, dénouai le nœud et rabattis les deux pans de tissu fin, mettant à nu ses petits seins nacrés encore perlés de sueur. Ils étaient un peu rosis par le traitement que leur avaient fait subir plus tôt les brutes en rut.Je tirai ensuite la robe vers le bas pour la faire glisser sur ses hanches. Ce faisant je m’aperçus que la culotte était partiellement venue avec (Au vu de ce qu’il avait dû endurer ce soir, son élastique devait être moribond).Une fois la robe enlevée, il ne lui restait plus que ce petit bout de tissu noir. Derrière, il était descendu jusqu’à la commissure des fesses, devant il s’arrêtait au milieu de son mont de Vénus, dévoilant une petite moitié de son pubis doré.A ce moment là, j’aurais dû lui remonter sa culotte et nous coucher, j’aurais dû.J’aurais dû rester sage ...