Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... cependant, la soirée m’avait passablement excité et en regardant pour la deuxième fois en 24 heures le corps magnifiquement offert d’une Caroline endormie sur mon lit, je perdis toute notion de bienséance : je glissai mes mains sous ses fesses et tirai d’un coup sa petite culotte jusqu’à ses chevilles puis lui ôtai complètement. Je me redressai et pus enfin contempler ma jeune et splendide collègue entièrement nue.J’étais hypnotisé par sa beauté, il se dégageait d’elle une impression de calme et d’abandon absolu ; je pouvais faire d’elle ce que je voulais mais je restais pantois, les bras ballants, les mains comme déconnectées du cerveau.Mes membres supérieurs paralysés, ce fut donc ma bouche qui prit l’initiative. Je me penchai lentement et posai extrêmement délicatement mes lèvres sur les siennes. Je savais bien que ça ne pourrait pas la réveiller mais je ne voulais pas rompre le charme.J’insérais ma langue entre ses petites dents blanches entrouvertes et essayait de lui titiller la langue mais évidemment, elle ne me rendit pas mon baiser.Après un long moment, je quittait à regrets ses lèvres pour poser les miennes sur ses paupières closes puis je continuait sur tout son visage : son front, ses tempes, son nez, ses joues, son menton, son cou…Encouragé par la sensation que cela me procurait, je poursuivais sur son buste, m’arrêtant avec insistance sur le pourtour de ses seins et les petits tétons que j’arrivais à faire se dresser par réaction épidermique, malgré le ...
... sommeil. Je continuais ensuite sur son ventre tout doux.Sa peau était maintenant sèche mais gardait le goût finement salé de la sueur qui avait ruisselé sur tout son corps pendant la séance de danse et après celle-ci.Mes lèvres arrivèrent à la limite de sa toison d’or. Peu abondante, elle n’était quasiment pas rasée (juste maîtrisée sur les bords). Je posais de chastes baisers sur des poils soyeux jusqu’à atteindre son petit bouton de plaisir sur lequel j’appliquai un smack plus appuyé. Elle sursauta légèrement et ce fut là sa seule réaction.Pour aller plus loin, je dus délicatement lui écarter les jambes (mes mains répondaient enfin à mes commandes cérébrales embrumées) et offrir à mes yeux l’ouverture timide de sa fragile rose encore bien humide. Je passai ma langue sur ses petites lèvres puis la plongeai dans son puits d’amour. Je récoltai un peu de liqueur assez épaisse, odorante et sucrée.Je repris ma séance de baisers sur ses grandes lèvres (impeccablement rasées, elles) d’une douceur indescriptible, descendis lentement sur les cuisses internes, elles aussi hyper douces, le reste des cuisses, ses genoux, la pliure des genoux, tendre aussi et en général super chatouilleux.Arrivé sur ses pieds, pas un centimètre carré de sa peau, coté face, n’avait échappé à mes lèvres.J’eus envie de faire de même de l’autre coté, je la retournai doucement et repris à partir de la nuque, tout le dos puis les reins et surtout le toujours magnifique et ferme petit cul. Ecartant les fesses de mes ...