Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... mains, je tendis à nouveau ma langue pour explorer le sillon délicat de sa petite raie et essayai de sonder son petit trou brun-rose. Celui-ci était trop bien fermé et je ne pus l’ouvrir.A la fin le coté pile avait reçu le même traitement que le coté face.Il est inutile de préciser l’état dans lequel tout cela m’avait mis. Popaul ne demandait qu’à sauter hors du caleçon qui le retenait. Je décidai de l’écouter (en général, quand un homme écoute sa bite, c’est mal barré pour lui !) et de le laisser, lui aussi, jouer à la poupée.Je retirai donc mon boxer et frottai mon membre énervé contre les demi sphères parfaites du petit fessier. Cela lui plu beaucoup, et il durcit encore, si c’était possible.J’ai ensuite eu envie de lui faire visiter les collines de nacre, la forêt d’or et la grotte aux mille parfums (oui, on peut dire que mon degré d’alcoolémie avait atteint son paroxysme).Je remis donc ma partenaire sur le dos et passai doucement mon sexe sur la peau suave de ses seins (ils n’étaient pas assez volumineux pour pouvoir faire une cravate notariale digne de ce nom mais c’était déjà sympa) puis sur son petit ventre tendre.M’installant ensuite entre les jambes écartées de Caroline qui ne bougeait toujours pas, je caressai avec délectation ses poils pubiens avec mon gland puis présentai celui-ci devant l’entrée du coffre fort qui, ce soir, faisait portes ouvertes.J’allais commencer à enfoncer les premières barrières et pénétrer dans le « saint des saints » quand, soudain, ...
... ma conscience me rattrapa encore in extremis (elle avait dû emprunter des chemins jusqu’alors inconnus pour éviter les impasses provoquées par un nombre important de neurones grillés ce soir là). Elle me présenta tout d’un coup à l’esprit la vision que j’avais eu plus tôt au club et qui m’avait fait réagir. Je réalisai que j’étais en train de faire exactement ce que je ne voulais pas que les autres lui fasse subir. Je pris surtout conscience que cette fois, ce n’était pas la baffe que je risquais mais la taule car malgré son invite embrumée, on ne pouvait pas dire que ma partenaire était réellement consentante.Je fus donc, comme la veille, coupé dans mon élan ; seulement là, j’avais à la main un gourdin qui ne se calmerait pas comme ça, tout seul. Je me redressai donc à genoux entre ses jambes et commençai de la main droite le mouvement de va-et-vient bien connu sur la tige de mon engin tendu à l’extrême.Il ne fallut pas attendre longtemps pour en voir jaillir un jet d’une rare v******e. On peut dire que je lui en ai mis partout : un peu dans les cheveux, un peu sur le visage (le front et la joue), une giclée sur le cou, une autre sur la poitrine sur le bord d’un sein, pas mal sur le ventre, dans le nombril et le reste dans sa toison et sur ses cuisses.Un peu penaud, je me dégageai et regardai « l’œuvre d’art » réalisée par mon esprit dérangé.Je pris ensuite un mouchoir et entrepris d’essuyer un maximum de liquide séminal sur son petit corps souillé.J’eus enfin la présence ...