1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... et de fait, je sentis la sève monter en moi.A l’instant fatidique ou j’explosais en silence, elle se recula et me laissa m’épancher sur mon ventre en continuant quelques derniers va-et-vient du poignet. (Apparemment, elle n’avalait pas ou réservait ce privilège à son époux.)C’était la fellation la plus bizarre et la plus intense de ma vie.J’eus toutes les peines du monde à me remettre de mes émotions et à terminer la conversation avec ma femme sans que celle-ci ne se doute de quelque chose ; je ne suis pas sûr d’y être arrivé.A peine raccroché, je laissai tomber mes bras en croix et soufflai : « Petite salope ! »« – J’ai l’impression que t’aimes les petites salopes, gros cochon ! » Répondit-elle en s’allongeant à coté de moi.Et me prenant le téléphone des mains : « Allez, à mon tour ! »Il était évident qu’elle demandait une revanche ; j’étais tout à fait prêt à la lui accorder. J’allais lui faire payer son culot.Elle composait à peine le numéro que je m’attaquais déjà a sa ceinture puis aux boutons de son jean. Evidemment, elle se laissa faire et se cambra pour me laisser passer ses mains sous ses fesses et lui baisser le pantalon. Marc n’avait pas encore décroché que le jean et la culotte jaune pâle étaient arrivés au bas du lit aussitôt rejoints par les deux chaussettes de laine.« – Allo, mon amour…. » Elle parlait à son mari tout en me regardant avec un sourire diabolique. Elle était allongée sur le lit, le haut du corps habillé de son gros pull de laine super doux et les ...
    ... jambes nues repliées et légèrement écartées. Elle avait posé sa main libre sur son sexe comme pour m’empêcher de le voir ou d’y accéder.On n’y croyait pas un instant !Avant de m’y attaquer, je m’approchai de son visage et, pendant qu’elle ne parlait pas, l’embrassai en sentant mon goût encore présent sur ses lèvres.Je m’installai ensuite entre ses jambes et remontai son pull pour poser mes lèvres sur son ventre chaud puis, après avoir écarté sa petite main qui bien-sûr n’opposa aucune résistance, j’entrepris de descendre plus bas afin de brouter avec bonheur son gazon doré et soyeux tout en respirant à fond son odeur intime. Descendant toujours, j’écartai ses cuisses et pu observer, sans encore la toucher, sa vulve rose palpitante et déjà bien humide. Soufflant dessus comme sur un plat trop chaud, je lui envoyai un peu d’air frais qui la fit sursauter et connaître sa première « coupure de réseau ».Afin de la laisser dans l’excitation d’une attente insupportable, je me détournai pour aller poser doucement mes lèvres sur la partie si tendre de l’intérieur de sa cuisse droite. Je descendais le long de sa cuisse puis remontai, traversai la zone du petit minou sans le toucher puis redescendais embrasser et lécher l’intérieur de la cuisse gauche.Je fis ce double trajet à plusieurs reprises et, à chaque fois que mon souffle effleurait ses pétales de rose, elle tressaillait d’excitation. Au cinquième passage, sans prévenir, je me suis arrêté pour sucer avidement son petit clito. Ce ...
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