Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... fut à son tour de pousser un « Aaaaah » instinctif.« – …. »« – Non, c’est rien, j’ai super mal au dos depuis l’autre jour et je me suis mal installée sur le lit. » (Copieuse !)Ma langue lâcha ensuite son bouton nerveux pour aller plonger dans son puits délicieux. Je goûtais avec délectation son essence plus liquide que la dernière fois où, à son insu, j’y avais mis le nez.Alternativement, d’une grosse langue râpeuse, je léchais de bas en haut et de haut en bas sa fleur à vif puis d’une petite langue fouineuse, je plongeais le plus profond possible dans son intimité. Mes mains ne restaient pas inactives, elles profitaient de la situation pour caresser ses cuisses et pétrir ses jolies fesses.Caroline eut de plus en plus de difficultés pour discuter avec son mari, elle répondait de plus en plus souvent par onomatopées genre « hmm », « hmm », se mordait les lèvres et essayait avec ses doigts de masquer le haut-parleur du téléphone quand elle ne pouvait plus contenir ses gémissements. De sa main libre, elle appuyait sur ma tête pour m’encourager à continuer. Je n’avais pas besoin d’encouragements.Ma langue courrait sur sa vulve, débordait sur l’extérieur des grandes lèvres pour s’égarer sur le début des cuisses et revenir de plus belle brouter son mont de Vénus.Pour amplifier ses sensations, je fit pénétrer deux doigts dans son antre parfaitement lubrifié et en fouillai les limbes pour titiller de l’intérieur son clitoris que ma bouche suçait à l’extérieur, puis j’entamai un lent ...
... mouvement de va-et-vient.Elle se cambra, bloqua sa respiration pour ne pas gémir et ne dit plus un mot au téléphone. A l’autre bout du fil, Marc avait-il remarqué qu’il n’avait plus de réponses, même laconiques ?Ma bouche ne quittait plus son clito, un troisième doigt avait rejoint les deux premiers et leur pénétration se faisait de plus en plus intense. Ma main libre s’était glissée sous le pull et sous le soutien-gorge et massait un petit sein tendu de désir.Voyant qu’elle ne pourrait sans doute plus retenir ses cris plus longtemps, Caro miaula un « -Chériii, j’ai un double appel, faut qu’j’te laisse, à demain bisouuu ! ! » et balança le mobile de l’autre coté de la chambre. Elle m’attrapa aussitôt la tête à deux mains et me plaqua le visage contre son bas ventre puis cria « Oh oui ! ! C’est ça ! C’est bon ! » Elle haleta, soupira et gémit crescendo pendant deux ou trois minutes avant de changer d’avis :« – Non arrêtes ! C’est trop fort ! Aaaaahhh ! » et elle essaya de repousser ma tête d’entre ses jambes.Seulement, j’avais ferré ma proie et n’entendais pas la lâcher comme ça. Je tentais donc de prolonger le supplice de plaisir le plus longtemps possible. Elle se laissa faire quelques instants avant de se dégager d’un violent coup de rein en arrière et, dans un cri, elle se replia sur le coté, les mains entre ses jambes, le corps secoué de tremblements convulsifs.« – T’es un fou furieux », haleta-t-elle.En souriant, j’essuyais d’un revers de main, la cyprine dégoulinant sur ...