1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... un peu irrité par notre nuit d’enfer, son clitoris réagit à la première stimulation et elle gémit d’entrée.Nous étions donc lancés dans un 69 bien avancé lorsque quelqu’un frappa à la porte.Les femmes de ménage dans les hôtels doivent travailler vite. Elles ont l’obligation de nettoyer et ranger chaque chambre dans un temps donné. En général, certaines ne s’entourent donc pas de précautions pour entrer dans les chambres puisque normalement tous les locataires sont censés en être sortis.Celle qui était en charge de la nôtre ne dérogea pas : elle toqua pour la forme et entra avec son passe sans attendre une éventuelle réponse.Evidemment, elle nous surprit dans une position fort délicate qui ne laissait pas de doute sur notre activité : Ma tête à peine relevée d’entre les jambes de ma partenaire, je la regardais d’un air ahuri, pendant que Caroline, qui n’avait rien entendu continuait à s’activer sur mon phallus.Interloquée un instant, elle se reprit et dit très vite :« – Oh ! Scusez-moi. Reviendrai plus tard. » Et elle tourna les talons en claquant la porte.Bien qu’elle devait être habituée à parfois surprendre des moments intimes entre clients, là j’étais sûr qu’on allait entrer dans le top 10 des situations scabreuses de l’hôtel et qu’on aurait aussi un beau succès en sortant de la chambre.En tous cas, la première conséquence de cette intrusion fut de nous couper complètement dans notre élan. Moitié honteux moitié hilares, nous avons interrompus notre contentement réciproque ...
    ... pour nous préparer et partir.Caroline revêtit une jupe courte mettant en valeur ses fines jambes gainées de nylon. J’allais avoir de quoi flatter mon sens visuel pendant les 800 kilomètres du retour.Nous avons quitté l’hôtel sous l’œil goguenard de certains employés, le réceptionniste du premier jour m’adressa même un clin d’œil de connivence.Etape chez le garagiste : la batterie était chargée à bloc. Mon dernier espoir de trouver une bonne excuse pour s’attarder encore s’envolait.Le patron ne nous fit rien payer, j’imagine que la manière dont il se rinça l’œil sur les gambettes de ma collègue le récompensa suffisamment de nous avoir rendu service. D’ailleurs il se proposa pour venir lui-même nous la réinstaller pour sans doute en profiter un peu plus longtemps. Nous avons accepté de bon cœur.Nous avons donc pris la route du retour et très rapidement, Caroline s’endormit fatiguée par sa nuit bien courte et bercée par le ronronnement du moteur.A partir du moment où nous sommes arrivés sur l’autoroute, ma main droite qui n’avait plus à assumer la tâche contraignante du changement de vitesse trouva tout naturellement sa place sur la cuisse gauche de Caroline, place qu’elle ne quitta plus pendant de nombreux kilomètres.Je faisais aller ma paume de son genou à sa jupe, le toucher électrisé par la caresse du nylon fin sur sa peau douce.Bien sûr, au bout d’un moment, la surface offerte ne me suffit plus et je glissai ma main sous la jupe et après quelques centimètres, je sentis que ...
«12...343536...39»