1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... le nylon s’arrêtait. La coquine avait enfilé des bas et non un collant. Peut-être voulait-elle affoler son mari en rentrant mais pour l’instant, c’était à moi que cela donnait des idées.Je continuai donc mes caresses en concentrant mon rayon d’action au-delà de la limite adhésive du bas, tâtant toujours avec délectation, la douceur de sa cuisse.Je progressai toujours dans mes investigations, m’attendant à rencontrer assez vite le tissu de la petite culotte, quand je tombai directement sur la moiteur de son intimité. Elle n’avait pas mis de culotte.« – Toujours prêt à profiter d’une occasion de me mettre la main au panier, hein petit cochon ! »Elle avait encore les yeux fermés mais ne dormait manifestement plus depuis longtemps.« – T’es à court de petites culottes ? Tu n’en mets plus depuis hier après-midi. »« – Ne t’inquiètes pas. Elle est dans mon sac à main. Je ne pense pas que Marc aimerait se rendre compte que j’ai fait 800 bornes à tes côtés sans culotte. »« – Donc tu m’allumes là. »« – Je commence à te connaître » me dit-elle avec un sourire en coin tout en relevant franchement sa jupe et en écartant les jambes pour donner plus d’aise à mes attouchements.« – OK, j’ai compris » Et je laissais mes doigts investir son intimité, pénétrer son antre humide, caresser ses lèvres roses.Elle démarra au quart de tour et le concert de gémissements que je commençais à bien connaître se fit bientôt entendre.Elle essaya de rendre la position plus confortable en allongeant son dossier ...
    ... puis elle se déchaussa et posa ses pieds de part et d’autre du tableau de bord coté passager. Enfin, pour ôter toute entrave, elle remonta sa jupe sur sa taille.La main gauche sur le volant, mon regard suivait alternativement la route et les activités de ma main droite occupée sur le triangle pubien de ma co-pilote. Celle-ci, la tête en arrière sur l’appui-tête, les yeux fermés et la bouche ouverte, avait passé une main sous son pull et semblait se caresser les seins pendant que son autre main appuyait sur la mienne, la guidant dans les coins lui procurant le plus de plaisir.Deux de mes doigts plongeaient dans sa vulve frémissante, en ressortaient tout humides pour aller tourner autour de son bouton électrique puis recommençaient le cycle continu.Elle se cambrait tellement que par moments, elle se retrouvait dans un équilibre où seuls ses pieds et ses épaules étaient en contact avec l’habitacle.Evidemment, j’avais considérablement ralenti la vitesse du véhicule afin de ne minimiser les conséquences d’éventuelles erreurs d’attention. Je dépassais malgré tout un des rares camions roulant en ce samedi lorsque je m’aperçus que celui-ci avait progressivement augmenté sa vitesse pour se maintenir à notre hauteur. Je me suis vite rendu compte que le chauffeur devait avoir une vue imprenable sur les jambes nues de ma maîtresse et sans doute aussi sur ce qui se passait sur son entrejambes.Je prévins Caroline :« – Attention ! Camion voyeur à droite. »« – J’m’en fous ! Continue ! » Me ...
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