1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... siège incliné.Me débattant avec le levier de vitesse, je réussis à descendre mon pantalon jusqu’à mes chevilles puis sa jupe retrouva la place que je lui préférais : sur sa taille.Tout en continuant à l’embrasser fougueusement, je m’apprêtais à investir une dernière fois sa grotte merveilleuse quand elle me stoppa brusquement :« – Attends ! Attends ! J’ai des préservatifs dans mon sac, tu vas en mettre un. »« – Pourquoi ? Jusqu’à présent on n’a pris aucune précaution. »« – J’ai pas envie d’avoir ton sperme dégoulinant de mon minou quand je vais retrouver Marc. Après une semaine d’abstinence, il va vite me mettre la main au panier, voire plus ! »Décidément, quand elle ne buvait pas, cette fille savait garder la tête froide en toutes circonstances et ne manquait pas de ressources insoupçonnées. Je commençais à me demander si je ne m’étais pas fait manipuler depuis le début.« – Et donc, tu te trimbale toujours avec une boite de préservatifs ? »« – Faut savoir prendre ses précautions ! » me répondit-elle avec un sourire coquin.Sur ce, elle avait déniché la boite et sorti un morceau de caoutchouc de son emballage. Elle le déroula avec délicatesse sur mon membre érigé que cette petite interruption n’avait pas refroidit.J’avais bien l’intention de profiter au maximum de cette dernière étreinte et j’entrai donc tout doucement en elle, savourant chaque centimètre gagné à l’intérieur de sa petite chatte dont la sensation d’étroitesse était renforcée par la capote. Je commençai ensuite ...
    ... le lent va et vient ; les cuisses écartées, les jambes resserrées sur mes fesses, elle accompagna mon mouvement.Les quelques véhicules quittant l’aire de repos passaient en accélérant auprès de notre voiture. Si leurs passagers avaient laissé leur regard traîner sur la droite, ils auraient pu nous voir et n’auraient eu aucune incertitude sur ce qu’il se tramait à l’intérieur mais je m’en moquais ; au contraire, j’en voulais plus, je voulais la sentir totalement à moi une dernière fois.Je passai mes mains sous son pull chaud et me mis en demeure de lui enlever le haut.Je remontai le pull jusqu’à sa tête puis elle leva les bras et me laissa lui ôter. Dessous, elle ne portait qu’un petit soutien gorge blanc avec des dentelles discrètes ; Je passai une main derrière son dos et dégrafai le sous-vêtement en un tour de main habile de connaisseur.Une fois dézippée, la jupe passa elle aussi par le haut et alla rejoindre les autres morceaux sur la banquette arrière.Plantée sur mon phallus qui la torpillait, coincée entre la portière et le levier de vitesse, Caroline n’était maintenant plus vêtue que de ses bas et de ses bijoux. Je pouvais librement contempler pour la dernière fois ses petits seins fermes tressautant au rythme de notre cavalcade sexuelle.Dehors, je crus deviner l’ombre d’un ou deux voyeurs rodant autour de la voiture isolée mais il y avait maintenant tellement de buée sur les vitres (pire que dans Titanic !) qu’ils n’ont pas dû pouvoir apercevoir grand chose et ont dû ...