1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... collée à moi mais plus bas : La tête sur le coté de ma poitrine, un bras sur mes abdos et une jambe sur une de mes jambes.Il avait fait chaud dans la nuit et les draps étaient tous tassés au fond du lit, de plus, à force de se retourner sans cesse, sa nuisette était remontée jusqu’au niveau de sa taille, dans le jour naissant je pus donc contempler à loisir la courbe somptueuse de ses petites fesses gainées dans une petite culotte rose cette fois-ci.De ma main libre, j’osai lui caresser très légèrement ce qui était à ma portée : les cheveux, son coté, sa hanche puis la jambe qui m’enjambait. Je goûtais la douceur exquise de sa peau.Elle commença à s’agiter et je pensai qu’elle allait se réveiller mais au contraire, elle se mit à nouveau à murmurer « chéri » et sa main commença à me caresser le ventre puis glissa sur mon caleçon où elle entama un pétrissage très doux de mon appareil 3 pièces. Le principal intéressé n’en demandait pas tant et j’affichais rapidement une érection de première catégorie qui ne demandait qu’à s’échapper du caleçon.Elle arrêta assez (trop ?) rapidement, sa main tomba sur le drap et deux minutes plus tard, elle s’éveilla pour de bon : Elle écarquilla les yeux, se recula en rabaissant sa nuisette :– Oh merde ! Désolée. (Tiens ! comme hier)– Y a pas de quoi, tout le plaisir était pour moi.Son regard s’arrêta sur mon caleçon tendu comme une toile de tente et en souriant :– Oui je vois, vous êtes vraiment tous les mêmes les gars, au réveil c’est le ...
    ... garde-à-vous.Je ne crus pas nécessaire de préciser qu’elle était à l’origine de mon embarras et la laissai se lever et se préparer dans la salle de bains en attendant que ça passe.Après une douche rapide, j’étais en plein rasage manuel lorsqu’elle frappa à la porte de la salle de bains que je n’avais pas verrouillée et entra avant que je n’aie eu le temps de lui répondre.– Excuses-moi, j’ai oublié ma brosse.– Ne te gène surtout pas !– T’inquiètes pas, j’ai déjà vu des mecs à poils.Puis regardant mon coté pile avec insistance :– Dis-donc t’es plutôt bien conservé pour ton age !– Vas-y appelles-moi pépère pendant que tu y es ! Dégage voyeuse !– Mais non je plaisantais mon chou !Et elle sortit en me mettant une main aux fesses.A nouveau, je me demandais si cette ambiance de vestiaire de foot me rassurait (pas de tentation avec un pote) ou me décevait (j’étais tenté d’être tenté).La seconde journée de masturbation intellectuelle se déroula comme la première.Lors des deux dernières heures, je me retrouvais dans une salle quatre à cinq rangs derrière ma colloc du moment.Mon œil fut attiré par un étrange manège, Caroline n’arrêtait pas de gigoter sur son siège, changeant de position toutes les cinq minutes.A la fin de la session, je lui demandais ce qu’elle avait.– J’ai failli me ramasser dans les escaliers ce matin, je me suis rattrapée de justesse mais j’ai dû me froisser quelque chose, j’ai un mal de dos infernal qui n’a pas cessé d’empirer tout au long de la journée, à la fin je n’en ...
«12...456...39»