1. Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)


    Datte: 21/07/2019, Catégories: Première fois

    ... grandissant.A plusieurs reprises, je glissais mes doigts sous l’élastique de sa culotte déjà plutôt basse pour caresser un peu plus loin ses petites fesses, elle ne sembla pas s’en offusquer.Ses grognements s’accentuaient, elle soufflait quelques mots : « Oh oui », « c’est bon », « plus haut », « plus bas » , « là oui », « plus fort », « oui comme ça » et son préféré : « Hummmmmmmm ».Je me disais que si quelqu’un écoutait à la porte, il serait convaincu que nous faisions l’amour.A un moment, elle m’a dit :– Hummm, tu es un dieu du massage, tu sais que tu as raté ta vocation.– Merci, on me l’a déjà dit.Je continuais le massage pendant de nombreuses minutes sans que cela me semble interminable, j’aurais pu continuer toute la nuit comme ça.Ses grognements se doublèrent petit à petit de gémissements et étonnamment, alors que le massage avait pour but de la détendre, elle se mit à se tendre par à-coups puis brusquement son bassin fut agité de soubresauts, se calma puis trembla de nouveau et cela recommença à deux ou trois reprises.Ou je n’y connaissais rien ou bien ma patiente venait de connaître un bel orgasme.C’était la première fois qu’un de mes massages avait un tel effet et j’en n’étais pas peu fier, même si je la soupçonnais de s’être aidée de ses doigts grâce à la main qu’elle avait glissée sous elle.Mes mains continuant leur office, Caroline murmura « merci » et au bout de quelques minutes, s’endormit.Il était 21 H 30, j’étais à genoux à coté d’une fille superbe quasiment ...
    ... nue et endormie, avec un gourdin à vous faire exploser le slip. Qu’auriez-vous fait à ma place ?J’ai laissé mes mains courir lentement sur son corps, préférant les parties n’ayant pas eu droit au massage : ses jambes magnifiques et ses fesses fermes. Je m’attardais sur l’intérieur des cuisses, là où la peau est la plus douce.Cela dû la chatouiller car elle remonta une de ses jambes et me donna l’occasion de plonger mon regard sur le petit bout de tissu masquant son intimité. Ce que je vis confirma mes déductions : un sillon plus foncé trahissait l’humidité qui y avait régné quelques minutes plus tôt. La dame avait pris son pied.Me déshabillant pour la nuit, j’attendais ensuite ce qui ne manquerait pas d’arriver compte tenu de sa propension à gigoter pendant son sommeil : Qu’elle se retourne.Un quart d’heure plus tard, je pouvais librement admirer son coté face : De son visage serein se dégageait une impression de pureté, d’innocence, ses lèvres fines, sans artifice, étaient un appel au baiser.Ses petits seins pales et fermes, posés haut, montaient et descendaient lentement au rythme calme de sa respiration. La peau veloutée de son ventre était barrée sur 3 ou 4 centimètres d’une cicatrice, trace d’une ancienne opération qui devait peut-être lui donner des complexes mais qui ne faisait que souligner la perfection du reste. Plus bas, la culotte surbaissée plus tôt par mes soins laissait dépasser quelques poils pubiens blonds-roux ; Cette blonde était une vraie blonde.Il m’est ...
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