Adultère en séminaire (Trouvée sur le web)
Datte: 21/07/2019,
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Première fois
... difficile de décrire l’état dans lequel j’étais devant cette créature. Ma petite voix de la raison essayait péniblement de me rappeler que j’étais marié à une femme elle aussi superbe, ma petite voix de la déraison m’incitait à faire fi de tout ça et de profiter du moment présent, de la caresser, l’embrasser et la lécher.Après l’avoir longtemps caressée des yeux, le coté obscur l’emporta et je laissais mes mains épouser la rondeur de ses seins, ils étaient chauds et doux sous mes paumes, leur aréole blonde surmontée d’un joli téton fièrement dressé.Je caressais ensuite lentement son ventre de velours tout en louchant sur le triangle de coton bleu légèrement bombé, dernier rempart m’empêchant d’admirer son Mont de Vénus. Je mourrais d’envie de franchir le Rubicon : glisser mes doigts sous l’élastique de sa culotte afin d’atteindre, en direct, sa toison dorée.A ce moment là, la voix de la raison repris le dessus en me disant que même si son sommeil semblait profond, si par malheur, elle se réveillait en me trouvant la main dans son slip, j’aurais droit à une baffe monumentale et un retour direct et définitif vers le canapé.Cette dernière pensée me coupa dans mon élan, j’ôtai mes mains, persistai encore longtemps à regarder le fruit défendu qu’était son petit corps offert puis arrêtai le supplice, me levai pour aller me soulager dans la salle de bains.Jour 4 – Mercredi matin.Les matins se suivaient et se ressemblaient en Provence.A mon réveil, Caroline, toujours endormie, ...
... pressait ses petits seins nus contre mon torse, un bras en travers de mes épaules. Décidément, cette fille avait besoin de contact physique pour bien dormir.Voulant lui épargner l’embarras de se réveiller quasiment nue dans les bras d’un homme qui n’était pas le sien, je décidai de faire semblant de dormir profondément quand elle se réveillerait.J’étais aussi un peu curieux de voir ce qu’elle ferait me croyant endormi.Quelques instants plus tard, je la sentis s’étirer et j’entendis :« – Oh merde!… » (Je pense que ce devait être là ses deux premiers mots quotidiens), « …bravo Caro ! ».Après s’être écartée, je l’entendis se lever, enfiler un vêtement (sans doute un T-shirt) et aller aux toilettes. Elle revint rapidement et se rallongea sur le lit. Elle resta un long moment sans bouger, je sentais le poids de son regard glisser sur mon beau corps d’athlète (Ah ! Modestie, quand tu nous tiens !), Malheureusement pour elle, cette fois les draps étaient restés à leur place et ne lui laissaient voir que ma poitrine.Je commençais à penser qu’il ne se passerait rien de plus quand son mobile se mis à chanter.Qui pouvait donc appeler à 7 heures du mat ! (Je sus plus tard qu’il s’agissait de sa meilleure copine Nathalie qui ne travaillait pas le mercredi sous prétexte de s’occuper de son gosse et passait sa journée au téléphone avec toutes ses copines en profitant outrageusement de la téléphonie illimitée. Apparemment, Caroline était habituée).« – Salut Nat. Ça va ? »« – …. »« – Non, je suis ...