1. Le Cycle de Caroline


    Datte: 22/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, facial, Oral piquepince, fsoumisah,

    ... Elle se redresse, en sous-vêtements, les pieds entravés dans son pantalon. Jean-Marc se lève et s’approche. Il la regarde, la détaille, tourne autour d’elle, la savourant des yeux par anticipation. La chair tendre criera bientôt sous ses doigts. De l’ongle d’un index, il effleure son dos, remontant la colonne du creux du coccyx jusqu’à l’agrafe du soutien-gorge. Il soulève celle-ci de son doigt en crochet, et la tire vers l’arrière, mais pas pour la défaire. Au contraire, il la lâche et la laisse claquer contre le dos d’Agnès. — Aïe, laisse-t-elle échapper. Mais son cri est coupé par une autre douleur. Jean-Marc lui tirant les cheveux en arrière. — Chhhht. Pas crier, lui souffle-t-il à l’oreille. D’un claquement de doigts sur l’agrafe, il libère les seins d’Agnès. La dentelle perlée s’effondre sur le sol et révèle deux lobes fermes, tendus de peau sensible. D’une main, il maintient la tête d’Agnès en arrière, tirant par les cheveux. L’autre, il la pose sur le ventre de sa conquête. Agnès est moite et elle tremble un peu. Les perles de sueur qui glissent sous les doigts de l’homme se répandent en frissons perceptibles. Il remonte les côtes, s’arrête avant les seins, la laisse soupirer, puis contourne ses hanches, insiste sur ses reins, la surprend en haut des cuisses. Elle se cambre. Elle ne l’a pas voulu. Une claque sur ses fesses sanctionne son impudeur. Il la fait se tourner vers lui. Elle n’ose pas le regarder. — Les mains derrière le dos, ordonne-t-il, et les épaules ...
    ... en arrière. Elle obtempère, bien sûr, et offre sa poitrine aux désirs du bourreau. Les doigts, d’abord légers, se posent aux bases de ses seins. Elle ferme les yeux. Elle retient son souffle tandis que les ongles glissent et se referment avec lenteur sur ses deux mamelons. C’est un déchirement. Un frisson devenant une contraction vive, depuis les cervicales jusqu’au périnée, la tendant à l’extrême lorsque Jean-Marc prend ses tétines en pince entre pouce et index, de plus en plus fort, ne relâchant l’étreinte qu’au seuil d’une douleur intenable. Et le mouvement reprend, du large au plus serré, du léger à l’intense. À chaque fois Agnès s’élève un peu plus haut quand ses cuisses se crispent. Elle sent qu’elle va partir. Mais Jean-Marc semble avoir d’autres projets pour elle. Il l’abandonne un instant en lui ordonnant de ne pas bouger et revient quelques interminables secondes plus tard, une petite chaîne chromée dans sa main. Agnès frémit. À chaque bout de la chaîne, une pince métallique ne semble destinée qu’à lui meurtrir les seins. — Regarde-les bien, lui explique Jean-Marc en actionnant les mécanismes sous ses yeux. Elles pincent fort, et beaucoup plus si on tire sur la chaîne. D’abord, il pince entre deux doigts le téton gauche d’Agnès, assez fort pour que la première pince, relâchée derrière ses doigts, ne la surprenne pas d’une morsure soudaine. Ensuite il lâche la chaîne et la laisse balancer. Elle tire le mamelon vers le bas et resserre la pince de son simple poids. La ...