1. Le Cycle de Caroline


    Datte: 22/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, facial, Oral piquepince, fsoumisah,

    ... douleur est vive mais supportable. Pour le deuxième sein, il est moins prévenant et les dents de métal croquent le mamelon sans sommation. Agnès mord sa lèvre inférieure, mais reste cambrée, la poitrine en avant et les mains dans le dos. — On va jouer un peu, explique Jean-Marc. Je vais tirer sur la chaîne et tu vas résister. Je n’arrêterai qu’à une condition : que tu te mettes à genoux devant moi. Et si tu te mets à genoux, ça sera pour sucer comme une pute. Est-ce que tu comprends ? Agnès acquiesce d’un signe de tête. Alors Jean-Marc commence à tirer sur la chaîne et les minutes qui suivent ne sont que contorsions, geignements et grimaces d’une Agnès tenaillée, électrique, tiraillée de sensations antagonistes et sentant malgré elle son sexe, en train de fondre, s’ouvrir ou se serrer suivant que la douleur ne foudroie que ses seins ou transperce tout son corps. Quand elle tombe à genoux, elle est prête à offrir sa bouche grande ouverte. Le sexe de Jean-Marc est déjà dur pour elle. Agnès pantelante le laisse s’enfoncer entre ses lèvres molles et glisser sur sa langue jusqu’à toucher sa glotte. Elle réprime un haut-le-cœur mais rouvre la bouche. Jean-Marc l’empoigne par les cheveux et décide de se satisfaire sans la laisser œuvrer, l’invitant à tirer elle-même sur la chaîne, ce qu’elle fait plusieurs fois pour son propre plaisir tout en laissant Jean-Marc coulisser dans sa gorge. Des lèvres distendues de la docile Agnès, s’écoule un filet gras qu’elle ne peut retenir et ses ...
    ... larmes diluent Rimmel et mascara sur ses tempes et ses joues. Quand la saucée arrive, elle ne veut qu’avaler, sentir le jus crémeux asperger ses papilles, l’aspirer par gorgées. Mais les lourdes giclées s’écrasent sur sa face et, pour la femme avide au visage souillé, ne restent que les gouttes accrochées sur le nœud à sucer. Elle s’en régale comme d’une récompense. Enfin, elle se retourne vers la caméra et nous fait « bye-bye » d’un signe de la main, avec petit sourire et clin d’œil coquin. Fondu au noir. Générique de fin. Musique de merde. — Il était pas mal, celui-là, pour le coup, commente Jérôme en éteignant l’écran. J’aime bien la dernière scène. La nana est craquante et elle prend cher. Tu voulais pas voir les bonus, hein ?— On les regardera demain, lui répond sa femme. Mais j’ai vu qu’une pauv’ chienne forcée à sucer un idiot. J’appelle même pas ça du SM. J’appelle ça du mime. Et on ne sait même pas pourquoi ils baisent.— C’est parce que tu ne regardes que les images. Tu n’imagines pas tout ce qui peut se passer dans la tête des personnages.— Oh ben, ce qui lui passe par la tête à ce moment-là ? Une bite !— Pas les acteurs, les personnages. Leur histoire, leur ressenti.— Non, mais tu me raconteras. Ça avait l’air intéressant, vu ta gaule. Mais moi, j’aurais préféré qu’elle prenne vraiment son pied. Qu’il l’encule au moins. Et moi, tu sais qu’il faut m’attacher. C’est ce que je préfère. Ça m’a refroidie, qu’elle ait les mains libres.— C’est vrai, ma Caroline, qu’il te ...