1. La prison


    Datte: 23/07/2019, Catégories: fh, frousses, grosseins, Transexuels pénétratio, sf,

    ... façon suggestive son entrejambe contre la bosse qui déformait déjà mon jean. Plaquant une main sur sa longue chevelure ondulée, je l’attirai contre moi pour unir nos lèvres, et crispai mon autre main entre ses fesses chaudes. Ses seins gonflés rebondis s’écrasaient contre mon torse, m’excitant davantage si c’était possible. Elle se redressa un instant pour presque arracher tous mes vêtements, et lorsque nous fûmes nus tous les deux, nos deux corps brûlants et surexcités l’un sur l’autre, elle se frotta encore contre moi, jusqu’à n’en plus pouvoir et suffoquer de désir. Et je finis par la faire pivoter sur sa couche et, allongé contre elle, mes jambes entre les siennes, m’enfonçai en elle d’un puissant coup de bassin tandis que sa voix chaude lançait une longue plainte de plaisir. *** Alys et moi, lascifs, charnels, voluptueux, avions longuement fait l’amour, avant de nous allonger, épuisés, côte à côte, soupirant d’extase et du plaisir de nous retrouver après les événements de l’avant-veille. Elle se tourna et se serra contre moi, posant sa tête sur mon épaule, pour me raconter en chuchotant ce qui s’était passé suite à notre altercation avec les trois jeunes qui nous avaient agressés. Lorsque j’avais voulu intervenir pour empêcher les surveillantes de s’en prendre à ma belle Alys, j’avais été tout bonnement assommé et menotté ; mon cas était réglé du moment où elles avaient constaté que j’étais un dégénéré : ma présence en ville était interdite. Nos deux assaillantes encore ...
    ... sur les lieux furent soignées et laissées libres, sans remarque particulière ; peu importait qu’elles eussent menacé de violer ma compagne. Celle-ci, également dégénérée, fut reconduite jusqu’à cet appartement, où Dame Heline avait confirmé aux surveillantes qu’elle était sa servante et qu’elle répondait d’elle. Puis elle avait passé la journée suivante à se morfondre, à s’en vouloir de m’avoir conduit là-bas, à s’agacer contre l’injustice des lois de la ville et la partialité inique des gardiennes de l’ordre. À tel point que sa maîtresse, qui l’avait d’abord tancée et sermonnée quant à sa conduite avec moi et à sa réaction démesurée face à mon emprisonnement, avait fini par se laisser presque émouvoir par le chagrin et la tristesse qu’elle ne parvenait pas à chasser. Et c’était elle qui avait finalement proposé de me « louer » pour une soirée. Mais Alys prit une voix affectée pour m’expliquer ce qu’allait être cette soirée. Son chagrin n’était finalement qu’un prétexte, ou du moins l’élément déclencheur. Heline me voulait surtout pour elle et pour ses amies ; j’allais servir toute une nuit durant de jouet sexuel pour combler quelques dames de la haute en mal de sensations fortes et prêtes à baiser avec un dégénéré. — Tu seras là ? demandai-je à ma superbe rouquine. Elle acquiesça. — Alors je m’en fous ! Tant pis pour le reste, si je suis près de toi. C’était vrai ! J’étais en train de tomber fou amoureux d’elle. Et puis, bon… baiser deux trois vieilles en mal de cul, ça ne ...