1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972)


    Datte: 24/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°971) On passait en gros deux heure et demie par "atelier". La soirée avait commencé à 18h30 et finit un peu plus tard que 7h… Sur la deuxième zone, je fus mise sur la sexe-machine qui comportait trois sexes factices, un pour chacun des orifices féminins. Mon éducation était vraiment bien ancrée en moi, et j'eus du mal à me lâcher et à me laisser aller à crier et à jouir, sans que cela soit fait sous ordre. Comme cela était paradoxal ! Si j'étais contrainte de me taire et de me contenir, j'avais envie de me lâcher. Et là que j'avais toute latitude pour laisser mon corps s'exprimer librement, j'en éprouvais de la difficulté. Cependant, la machine infernale qui me labourait mes trois trous me mit rapidement en émoi, me projetant dans un autre monde. Lorsque je réussis à intégrer la liberté sexuelle dont j'avais l'autorisation pour l'occasion, je finis par me laisser aller et j'eus un nombre incalculable d'orgasmes sur ce qui restait de la demi-heure où le nouveau dominant qui s'occupait de Kutiya et moi, qui se nommait Maître Choosa, me laissa ainsi appareillée en augmentant souvent les intensités de mouvements de ses sexes d'une épaisseur limite hors norme. Kutiya, elle, passa sa demi-heure à sucer et baver sur la queue du Dominant qui lui baisait la bouche sans relâche, même lorsque son sexe se ramollissait. Dans ces moments là, lorsque cela arrivait à n'importe lequel des hommes présents, ...
    ... il claquait des doigts et un domestique lui apportait une tisane d'un mélange typique de ce pays et qui leur donnait une nouvelle vitalité, ce qui leur permit sans difficulté de tenir les 10h30 d'orgie. Sur le troisième espace de la soirée, un des Dominant décida de nous faire nous allonger l'une sur l'autre, toutes les deux sur le dos. J'étais la plus grande donc je fus celle qui fut placé sur la table. Il nous attacha de telle manière que nos deux culs et nos deux chattes lui étaient accessibles. Avant que Kutiya puisse s'allonger sur moi, il nous plaça des pinces aux tétons. Et quand elle fut en place, les pinces qui me mordaient déjà cruellement la chaire, me les tordaient également et je me forçais pour ne pas retenir ni larmes ni gémissements, et ainsi satisfaire la virilité de celui qui s'acharna sans ménagement sur nos quatre orifices. Pendant tout le temps que dura la séance, je sentais la mouille de la chienne au-dessus de moi couler sur ma chatte et se mélangeait à la mienne. À la fin de la demi-heure, il nous fit mettre en 69, pour que nous nous léchions mutuellement jusqu'à avoir à nouveau chacune un orgasme… Quand nous fumes mises dans la boîte où nous ne pouvions nous tenir qu'en position de levrette, nos culs seuls dépassaient. Nous fûmes rarement pénétrées, par contre je crois pourvoir affirmer que tous les instruments qui servaient à frapper furent utilisés. En particulier un pad recouvert de petite pointe dont je n'aurai su déterminer la matière. C'était ...
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