1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972)


    Datte: 24/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... gens plus aisés préféraient s’éloigner un peu pour aller jusqu’à Teelawal ou encore Jai Singhpura, payant un peu plus mais pouvant baiser dans des lieux un peu plus reluisants. Le Maître ne m’enleva le bandeau qu’après m’avoir installé derrière une des fenêtres de l’étage. Il m’expliqua que je devais me rendre un peu utile au palais et donc le Maharadjah avait décidé que je devais ramener une certaine somme, dont je ne connaîtrais pas le montant. Tout ce que je savais, c’est que je ne quitterais cet endroit que lorsque ladite somme serait atteinte. Je devais donc faire la pute, la véritable putain et donc tout mon possible pour aguicher les hommes passant dans la rue, par des poses et des attitudes suggestives. Et j’avoue que cela m’excitait grandement, malgré les conditions déplorables d’hygiène… Lorsque le premier homme passa la porte de la chambre où je me trouvais, je me dis que la nuit risquait d’être longue... Il avait l’air rustre, sentait l’alcool, ses vêtements étaient vieux et sales, en mauvais état avec une odeur nauséabonde, et visiblement pouvoir baiser une européenne l’excitait grandement ! Une seule contrainte pour la clientèle était imposée, le port du préservatif et cela me rassura grandement car au vue des conditions d’hygiène, une MST aurait vite été attrapée. Et effectivement le tenancier du bordel avait du lui donné une capote car il l’enfilait devant moi avec excitation arborant une queue en forte érection. La situation était dégradante et humiliante, ...
    ... mais je ne voulais pas décevoir le Maître, alors je me laissais totalement faire, aillant bien retenu que crier et jouir souvent était gratifiant pour l’homme. Par une étrange coïncidence, je tombais visiblement à chaque fois sur des mâles à tendance plus ou moins forte dominante. Je fus baisée de nombreuses heures, par tous mes trous de chienne en chaleur, dans de nombreuses positions de leur culture du kamasoutra que je n’aurai jamais pensé pouvoir tenir. Cela dit, il n’y avait aucun hasard. Monsieur le Marquis d’Evans n’allait pas laisser Sa propriété aux mains de n’importe qui, et tous les clients qui me passèrent dessus cette nuit-là étaient de véritables Dominants de la petite société, effectivement avec peu de moyens, mais tous respectueux d’un certain code d’honneur. Mais cela je n’avais aucun moyen de le savoir. Et malgré, ou peut-être bien à cause de ces humiliations que je subissais, je mouillais comme la petite pute, la salope que le Châtelain avait pris le temps d’éduquer. Ce fût le Maître Lui-même qui vint me chercher au petit matin, voulant Lui aussi profiter de Son bien. Et malgré la nuit épuisante que j’avais passé, j’étais plus qu’heureuse de recevoir en moi Sa noble queue que je vénérais autant que Lui, ainsi que Son précieux nectar que je reçus au fond de ma gorge. Nous étions seuls, je redevins alors la chienne européenne bien éduquée, et ne fis pas le moindre bruit, ne laissant pas échapper le plus petit gémissement, ni le moindre orgasme, car je n’eus pas ...