1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°972)


    Datte: 24/07/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... extrêmement douloureux mais pas pour autant dangereux. Ce fut un concert de cris, de larmes et de jouissances mêlés, et donc une inondation de cyprines mélangées dans la caisse. Que nous dûmes ensuite nettoyer ensuite de nos langues pendant que nous étions pénétrées à tour de rôles. Et enfin, le tapis, où suivant les Dominants, nous étions prises dans de multiples positions, à deux ou à trois, sexes mélangés ou du même sexe. Tous les orifices étant les uns après les autres occupés par une chatte ou une queue. Cinq fois dans la soirée je pus me dévouer au Maître que je vénérais. Mais je n'avais aucune préséance par rapport à Kutiya, Il nous utilisait également à chaque fois. J'eus du mal à me laisser aller à crier et à jouir la première fois avec Lui. Il s'en aperçut et eut la bonté de me l'ordonner à chaque fois. Je Lui en fus reconnaissante car je n'aurai pas pu renier mon éducation avec et devant Lui. La soirée se termina après que les domestiques soient allés chercher une sorte de grande pataugeoire, où toutes les chiennes furent regroupées à genoux, mains dans le dos, yeux fermés, la tête levée vers le ciel, et la bouche ouverte. Tous les Dominants firent cercle autour nous, ils dégainèrent leurs sexes et ils urinèrent sur nous en essayant, ou pas, de viser nos bouches. Et nous dûmes ensuite nous rouler dans cette piscine dorée puis nous lécher mutuellement pour nous nettoyer. Toutes les autres femelles furent à nouveau parquées, sans que je sache ce qui allait suivre ...
    ... pour elle. Quant à moi, le Maître me banda à nouveau les yeux et nous retournâmes dans notre suite. Deux jours plus tard, le Maître revint le soir dans la suite avec une housse de vêtements. Il l’ouvrit et j’y découvris un mini top en cuir, une mini-jupe dans le même tissu et des bas-résilles auto-fixants. Et il apportait également des bottes à haut talon. - Je t’avais dit que tu aurais le droit de sortir une fois en dehors de ce palais. Ce sera ce soir ! Tu vas mettre les vêtements que je t’ai apportés. Je vais à nouveau te bander les yeux. Tu ne dis rien, tu te laisses guider. Le Maharadjah m’a conseillé de te conduire dans un des quartiers de Jaipur. Même si le sexe n’a pas à être exhibé, il est néanmoins présent, comme partout dans le monde. Il ne me dit rien de plus. Je passais donc ces vêtements, et le suivais, debout suivant Son ordre pour ne pas risquer d’abîmer ou de salir la tenue, hautement provocante pour ne pas dire plus. Il me conduisit à Chandpole, un quartier chaud, pour ne pas dire très chaud, une zone où se situaient des maisons ayant des barreaux aux fenêtres, et dans lesquelles on trouvait derrière les fenêtres de l’étage des prostituées bon marché. Les clients aux modestes moyens venaient passer de chaudes soirées avec la fille qu’ils repéraient de la rue et qu’ils réclamaient en entrant. Ils devaient régler avant d’être conduit dans une des chambres, sales, glauques, avec un unique matelas posé au sol, celui-ci étant bien souvent tâché, et mal odorant. Les ...