Juste une graine
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
fépilée,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... mes lèvres ; je crois que j’enfonce trois ou quatre doigts dans mon vagin, et je gémis, fort. L’orgasme est imminent ; j’ouvre les yeux sur le beau visage de Valérie : ses yeux bleus sont dilatés, sa langue passe frénétiquement sur ses lèvres. Je lui murmure : — Je jouis ; c’est bon. C’est bon… C’est si bon ! Je n’ai pas remarqué que le bus s’est de nouveau arrêté et que de nombreux passagers sont en train de monter. Valérie se réveille avant moi : — Grouille ; ton manteau ! Je tressaille, pas encore remise ; j’enfile mon manteau, le reboutonne vaguement. Valérie a récupéré nos affaires, s’est assise, le gros paquet de vêtements camouflant vaguement ses cuisses. — Alors, toi, t’assures ! s’exclame-t-elle en remettant ses chaussures.— Tu peux parler… dis-je, toujours sur mon nuage.— Debout ! Le prochain arrêt, c’est le tien. Je me lève et un peu plus consciente, je rectifie mes boutons. Je me dirige vers la porte du bus, Valérie sur mes talons. La marche jusqu’à mon immeuble se passe presque normalement. Valérie a tout de même préféré se mettre plutôt sur mon côté, légèrement en arrière, longeant de près le mur. Elle tient tous nos vêtements entre elle et moi. Je la sens un peu nerveuse quand même. La conversation se réduit au minimum. Heureusement, il n’y a pas de rue à traverser, mais Valérie attire quand même bien des regards. Dès que j’ai ouvert la porte d’entrée de l’immeuble, Valérie se détend et pousse un « pfiou » de soulagement. — C’était chaud, quand même ! Quand je ...
... faisais ça, avant, c’était toujours avec mon copain, et la nuit.— Tu te baladais comme ça la nuit ?— Naaan ! En fait, on se trouvait une impasse bien tranquille ou un truc comme ça. Je me mettais à l’extrémité, et Pierre se mettait à l’entrée pour faire le guet. Je devais déposer mes fringues. En général, une robe légère – on faisait ça en été – et je devais marcher vers lui. J’avais le droit de faire le demi-tour en courant.— Et lui, il faisait quoi ?— À part bander ? Rien. C’est pour ça que je l’ai largué, d’ailleurs ; j’adorais me balader à poil, mais je supportais pas qu’il n’y ait pas symétrie. Je hoche la tête. Ce n’était pas vraiment ce qui s’était passé avec Patrick, puisque jamais à l’époque je me serais foutue à poil dehors ; mais voilà, il n’y avait jamais de réciprocité non plus entre nous. — T’es au premier, je crois ? Je fais oui de la tête. Encore un clin d’œil de Valérie, qui me colle les vêtements dans les bras (que j’ai déjà bien chargés). Un instant plus tard, j’ai son débardeur sur le visage et son blouson sur l’épaule. — Et maintenant, le sprint final ! Je secoue la tête pour faire tomber le débardeur ; j’ai juste le temps de voir ses fesses nues avant qu’elle ne rentre dans la cage d’escalier. Bon sang, il est à peine 18 h ! J’entends ses pas dans l’escalier, et je me précipite derrière elle. Je crois que des frusques sont tombées, abandonnées au champ d’honneur ; tant pis ! Dieu reconnaîtra les seins, euh, les siens. Valérie m’attend à l’embranchement ...