Juste une graine
Datte: 26/07/2019,
Catégories:
f,
ff,
jeunes,
fépilée,
essayage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... de la fourche, les mains sur les hanches, m’exhibant fièrement sa nudité la plus totale. — Bon, OK, ça vaut pas ta masturbation épique ; mais c’est un début, non ? Je ne peux qu’acquiescer, avec une pointe de jalousie tout de même. C’est mon territoire, et j’envie son épilation parfaite. Mais pourquoi je n’y ai pas pensé avant ? C’est ça, être nue ! Je ne veux pas être en reste ; aussi, je dépasse Valérie pour être dans « ma » branche de couloir. Je pose toutes les affaires, et après un coup de menton arrogant, je laisse tomber mon manteau et me mets moi aussi les mains sur les hanches. — Bon, on continue à se les cailler ou on rentre se mettre au chaud ? On ramasse tout ce qui traîne et j’ouvre ma porte. À peine ai-je pénétré dans l’appartement que Valérie me saisit par les épaules et me roule un patin. Je suis un peu – juste un peu – surprise. Je lui rends tout de même son baiser. Profite, profite, me dis-je. Nous sommes toujours dans l’entrée, la porte ouverte, elle d’un côté du seuil, moi de l’autre. Son corps se rapproche du mien. Nos seins se frôlent, se touchent, puis nos pubis se collent l’un à l’autre. Je suis un peu triste de ne pouvoir profiter de la douceur de son sexe ; le barrage bien mince mais réel de mes poils me privent sans doute de quelque chose. Les mains de Valérie parcourent à présent mon corps, s’attardant sur mes fesses, puis un doigt s’insère en moi, sans difficulté : je ne crois pas avoir déjà autant mouillé ! Je lui rends ses caresses, mais ma ...
... main semble ne vouloir solliciter que son pubis glabre. Oh, c’est encore plus doux que je n’imaginais… Valérie m’attire vers l’extérieur de l’appartement et doucement m’allonge sur la moquette du couloir. Sa tête se dirige vers mon sexe, et sa langue a tôt fait de titiller mon clitoris. Je m’installe entre ses cuisses et découvre pour la première fois le goût d’une autre femme. Je regrette aussitôt de ne pouvoir offrir à Valérie le même antre de douceur qu’elle propose à ma bouche. Vu l’ardeur qu’elle met à lécher mon clitoris et à enfoncer sa langue dans ma chatte, mes regrets sont vite oubliés. Elle jouit très bientôt et me mord gentiment le sexe. Elle se relève et m’aide à en faire autant. Elle m’embrasse tendrement ; sa langue fouille ma bouche pour trouver la mienne et je retrouve la saveur de ma liqueur intime sur ses lèvres. — Viens, me dit-elle. Elle m’amène jusqu’à ma chambre, m’allonge sur le lit. Sa bouche est partout, sa langue lèche le creux de mes oreilles, mes lèvres, mon cou, mes seins, mon ventre, retrouve le chemin de mon clitoris. Ses mains caressent mes seins, mes fesses ; ses doigts me pénètrent dès que sa langue abandonne mon vagin. Je tiens sa tête serrée contre mon pubis, et je lui crie presque : — Encore, encore Valérie, fais-moi jouir. Et elle me fait jouir. Jusqu’à minuit, nous nous sommes donnés du plaisir. Nous avons mangé, nous servant de nos seins et de nos pubis comme assiettes, de nos vagins comme de verres. Les doigts étaient tacitement ...