1. Un irrépressible besoin de sexe (histoire écrite en 08/2011 avec les confidences d’une amie).


    Datte: 26/07/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... cet été, j’ai véritablement changé pour devenir une belle grande jeune femme aux formes harmonieuses qui attirent les regards des hommes. Mes hanches se sont élargies, la taille s’est marquée et mes seins se sont développés pour atteindre un bon 90.B et une jolie forme en pomme. Mes cheveux blonds ont aussi changé de teinte pour devenir châtain foncé avec des reflets dorés, coupés en carré aux épaules avec une frange courte sur le front. J’ai commencé à me trouver sexy et j’ai répondu aux avances des garçons… au point que désormais, je baisais régulièrement deux à trois fois dans la semaine avec l’un ou l’autre de mes camarades d’études. Comme je n’avais pas d’exclusive, j’avais acquis une réputation de salope que j’assumais pleinement. Ensuite, lors de mon stage en hôpital en fin de cursus, je me suis éclatée lors des gardes de nuit calmes en baisant avec les médecins de garde ou d’autres hommes qui passaient à ma portée. La réputation du milieu hospitalier n’est plus à faire ! C’est un monde de baiseurs et des baiseuses car les lesbiennes et bisexuelles y sont aussi très à l’aise. C’est ainsi que durant cette période j’ai connu ma première expérience homosexuelle avec une infirmière diplômée qui, depuis quelques temps me faisait des avances très appuyées. Un jour, elle m’a convaincu lors d’un diner en tête-à-tête chez elle de faire l’amour ensemble. Elle m’a bien fait jouir mais ne m’a pas convertie au point de devenir bisexuelle. Pour me satisfaire en dehors de mes ...
    ... parties de galipettes, j’avais à ma disposition une série de jouets érotiques ce qui fait que même lorsque je n’étais pas de garde de nuit, je me caressais et pénétrais ma chatte à plusieurs reprises au moment de me coucher et le matin au réveil. A chaque fois, j’atteignais des orgasmes fabuleux, presque aussi bons que lorsqu’un homme me sautait… là où l’envie de baiser nous prenait. D’ailleurs à l’hôpital, j’ai été surprise plusieurs fois dans des chambre inoccupées ou dans la lingerie, mais à chaque fois, j’en sortais fière de moi et de mes prouesses. Lorsque j’ai eu mon diplôme, j’ai été embauchée quelques années dans l’hôpital où j’avais fait mon stage et je me suis mise en ménage avec Bruno, un infirmier de 5 ans mon ainé. Il me connaissait bien et nous avions convenu dès le départ que, s’il nous arrivait de vivre une aventure sexuelle, nous devions nous la raconter par le détail mais aussi, ne pas nous attacher sentimentalement. C’est avec lui que j’ai découvert diverses pratiques comme la soumission douce, la sodomie (que je n’avais jamais acceptée avant), le libertinage où pour la première fois, j’ai commencé à fréquenter les clubs de la région. Malgré mes envies de sexe débridées, je me contentais de mélangisme et d’exhibition en dansant à la barre. Là encore j’étais fière de moi et d’avoir excité hommes et femmes mais c’est Bruno qui me baisait au final. Puis un soir où nous étions en club, Bruno me faisait un cunnilingus pour achever de me mettre en condition lorsqu’un ...
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