1. Ma bien-aimée


    Datte: 23/06/2017, Catégories: hsoumis, fdomine, humilié(e), nopéné, hsoumisaf,

    ... elle était intransigeante. Elle aimait beaucoup être sucée et j’avais une consigne immuable à respecter. Étant donné que je me réveillais toujours avant elle le matin, je devais me lever silencieusement et préparer son café, ensuite je devais le poser délicatement sur la table de nuit, puis très doucement, en prenant mille précautions, je devais écarter ses jambes, puis je devais entamer un cunnilingus d’abord léger puis de plus en plus rapide et profond au fur et à mesure de la montée de son désir, elle, gardait les yeux fermés et émettait des petits râles de plaisir. Quand elle arrivait au bord de l’orgasme, elle me tenait la nuque bien appuyée pour que ma langue entre profondément en elle puis elle jouissait bruyamment. Une fois assouvie, elle dégustait son café silencieusement. Ce rôle me convenait à merveille. Une fois passée ma gêne, je trouvai mon équilibre et mon bonheur ainsi. Quand nous sortions entre amis par contre, je redevenais celui que j’étais avant elle, un gars sociable, ouvert et qui aimait blaguer. Mais un jour je me suis manqué… Je rentrais du travail et j’étais très contrarié, mon chef de service m’avait convoqué et cherché des disputes pour une erreur que je n’avais même pas commise et je ne supporte pas l’injustice. — Minette, va me préparer un thé.— S’il te plaît, pas maintenant ma chérie, laisse-moi me poser, ce connard de chef m’a rendu la vie impossible toute la journée et j’ai besoin de récupérer. Pour une fois je préfère que tu te le fasses ...
    ... toi-même ton thé… Un grand silence suivit, elle me regardait sévèrement. Je me rendais compte que je venais de commettre une grosse bévue. — Je crois que j’ai été trop gentille avec toi et tu es tellement con que tu as pris ma gentillesse pour de la faiblesse. Je sentis le sang monter à mon visage et je réalisai la gravité de ma faute. — Demain soir je ne serais plus là.— Non, ma chérie, excuse-moi s’il te plaît… Elle m’observa, le regard sévère. — Va me préparer un thé espèce de tapette et ne m’oblige pas à le répéter ! Je me levai silencieusement la tête baissée et revins un moment plus tard, deux tasses chaudes sur un plateau. Je la servis et m’assis à côté d’elle. — Va poser ta tasse dans la cuisine, je ne bois pas le thé avec un benêt !— Excuse-moi, j’ai pas fait attention à ce que je disais. L’air calme elle prit sa tasse et but tranquillement. — Pour demain je veux cent lignes bien écrites. « Je ne dois pas contrarier ma chérie. »— Oui, excuse-moi…— Tu les feras cette nuit quand je serai couchée.— … Elle ôta ses chaussures. — Tu as besoin d’une punition, pétasse. Lèche-moi les pieds et comme il faut. Je m’exécutai, ensuite je préparai le repas, ensuite je débarrassai tout, ensuite elle se coucha, ensuite j’écrivis mes lignes, ensuite je me couchai. Je me glissais sous les draps silencieusement quand je sentis une tape sur ma tête. J’entrouvris les yeux. — Tu ne mérites pas de dormir près de moi, prends un coussin et tu vas dormir par terre sur le tapis au pied du lit ! Je ...
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