Nicolas (1)
Datte: 28/07/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... frotter l’un contre l’autre. On est toujours tous les deux nus dans le couloir entre les chambres, nos habits jonchant le sol : — Mon chéri, où veux-tu dormir ? rltrggfn — Maman, avec toi, dans ton lit, je veux dormir dans ton parfum… Elle m’enserre dans ses bras, mais cette fois avec avidité et nous repartons pour un nouveau baiser d’amour plus passionné que jamais. Elle frotte frénétiquement son ventre gonflé contre mon bâton, ses seins contre mon torse. Je crois que je vais exploser ! Elle me conduit dans la chambre, sa main est moite, nerveusement elle ouvre le lit. Son visage est grave et sur son invitation nous nous allongeons sur le drap blanc, dans les bras l’un de l’autre. Je l’entends qui murmure : — Mon chéri j’espère que ce n’est pas ta première fois, car je ne suis pas une grande experte dans ce domaine… Cette humilité me touche et me trouble. Quelle vie son mari, mon père, lui a fait mener ? J’ai envie de la protéger, de jouer le grand frère avec elle (si un grand frère à un tel rôle à jouer ?) : — Ca n’a pas d’importance, tu es ma maman chérie, je t’aime de tout mon cœur… Nous restons un moment tendrement enlacés, dans un câlin passionné, le temps de mettre nos cœurs et nos corps en harmonie. Sa chaleur et sa gentillesse doucement m’inonde. Je la couvre de baisers. Et puis, d’un coup, je réalise ce qui m’arrive, comment les choses évoluent… J’étais venu ici en vacances pour me reposer, tenir compagnie à ma mère et me voici avec elle dans son lit ! Cet éclair ...
... de lucidité me trouble et renforce encore mes sentiments envers elle, j’ai le cœur qui déborde d’amour et de tendresse pour cette femme. Toute la culpabilité d’un acte interdit s’envole doucement… Mais bientôt elle reprend l’initiative, elle me serre plus fort, se frotte contre moi passionnément… Nos câlins deviennent plus fougueux. Nos langues s’enroulent et se déroulent, nos corps se cherchent et s’emmêlent avec vigueur. On roule l’un sur l’autre, chacun étant alternativement dessus dessous, comme dans une lute ou un ballet. Ce n’est pourtant pas une confrontation déterminant un vainqueur mais un besoin de sentir l’empreinte de l’autre marquer son propre corps. Je sens son ventre passionnément s’appuyer sur mon sexe bandé et malmené, sa poitrine s’imprimer, rouler sur mon buste. Puis elle profite d’être dessus pour se dresser sur ses bras, son regard dans le miens avec un rictus de passion et d’inquiétude : — Ne suis-je pas trop lourde et trop brute avec toi mon chéri… Je ne te fais pas mal ? Surpris, je la rassure lui redisant tout mon amour et que ses étreintes passionnées me donnent encore plus envie d’elle, de la posséder avec la même fougue… Elle m’explique qu’il faut que je sois indulgent car avec l’excitation elle devient incontrôlable… Mon défunt père lui reprochait ces débordements qu’il jugeait indignes d’une personne civilisée. Avec lui, il ne fallait pas de ces manifestations « déplacées » pendant les échanges sexuels, d’ailleurs il préférait que ces derniers ...