1. Nicolas (1)


    Datte: 28/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... restent plutôt brefs… du genre « Toc, toc et salut ! » Je continue sur ma surprise, quel mufle, lui assurant qu’avec moi, elle peut se lâcher, que je ne crains pas les partenaires exubérantes, au contraire… Et puis notre maison est suffisamment éloignée des voisins pour ne pas risquer de les affoler par des bruits intempestifs ou de cris subjectifs ! Tranquillisée, elle se recolle à moi pour de nouveaux baisers passionnés. Je sens la force de son étreinte. En gigotant nous roulons encore, elle m’entraine dessus, puis elle bloque le mouvement en écartant les jambes et prenant appui sur ses pieds. En glissant son ventre et basculant son bassin je sens qu’elle place délibérément sa fente contre l’extrémité de mon sexe. Cette sensation brulante et humide contre mon gland m’excite encore un peu plus. Tiraillé par mes derniers scrupules, je me pousse sur les bras, j’ai besoin de questionner son visage. Ses yeux Langoureux d’amour me réconfortent et m’encouragent. Mon envie d’elle l’emporte dans une poussée impétueuse d’hormones et de désirs archaïques… Mon gland glisse maintenant doucement en elle. Je vois, accompagnant la pénétration, ses traits qui se troublent, ses yeux qui se révulsent. Du plus profond de sa gorge monte un râle, comme une plainte. Elle replie complètement les jambes pour me permettre d’aller au plus profond d’elle. Je bute maintenant pubis contre pubis, elle reprend son souffle, ouvre un instant des yeux suppliants : — …Vas-y, achèves-moi ! Je n’avais pas ...
    ... besoin de ce signal pour partir dans un ample pistonnage, l’instinct avait pris les commandes. Elle se cramponne à mon dos de ses ongles, elle accompagne le mouvement, basculant son bassin en cadence et frottant son ventre avec force contre le mien ; son étreinte est intense. Le mouvement s’accélère inexorablement. Elle râle, elle gémit. Brusquement, je sens ses muscles qui impérieusement se tendent, maintenant c’est elle qui mène la cadence de ce pilonnage infernal, alternant des reprises de souffles et des hurlements sauvages à me donner la chair de poule. Et soudain ses mouvements de bassin deviennent saccadés. Les traits de son joli visage arborent une sorte de grimace de douleur, mais si agréable à regarder. Puis son corps se cabre, j’ai l’impression qu’elle suffoque, ce qui me fait un peu peur et je relâche un peu mon étreinte. Dans un spasme final elle lâche un rugissement étrange dont je n’aurais jamais cru ma mère capable. A ce moment je m’aperçois que j’ai déchargé et me suis vidé en elle presque sans m’en rendre compte, aspiré et tellement impressionné par sa propre jouissance. Maintenant lentement elle revient au présent, essoufflée, son visage se détend, son corps transpirant de l’effort. Je lui souris pour accrocher l’attention de ses yeux encore hagards. Elle m’esquisse un sourire : — Oh mon chéri… Mon chéri, tu vas me tuer si tu me fais des trucs comme ça ! Rassuré de la voir revenir à un état normal et débordant d’amour pour cette femme je la couvre de baisers ...
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