1. Nicolas (1)


    Datte: 28/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... s’accrochant à moi et par un retournement spectaculaire elle me rend ma tape. Cette confrontation m’a mis largement en contact avec le corps de la nageuse ce qui m’a complètement électrisé et fait perdre une partie de mes moyens. Maintenant je dois affronter les éclats de rire des deux dames qui me narguent. Elles me provoquent puis finissent par se laisser attraper pour très vite me rendre le gage. De plus, je dois affronter la solidarité féminine : elles se liguent pour se protéger mutuellement. Manifestement maman profite de ces affrontements pour se frotter contre moi, dans des câlins déguisés. Ma timidité s’estompe petit à petit, je commence à profiter des avantages secondaires de cette confrontation. Sous le prétexte du jeu, je peux attraper ces dames, me serrer contre elles, comparer la douceur et le velouté des peaux sans compter qu’elles n’ont, l’une comme l’autre, aucun complexe vis-à-vis de la nudité des corps. Anne certainement encouragée par mon absence d’agressivité et par l’attitude de ma mère commence à avoir dans son contact des réactions plus sensuelles, prolongeant les empoignades en se frottant contre moi d’une manière plus appuyée… Puis à la suite d’un coup malheureux en se débattant elle a cru blesser mon endroit sensible. Gênée, elle s’empresse de s’excuser et pour se faire pardonner me fait un câlin enflammé. Je suis tout groggy d’avoir cette naïade pulpeuse dans les bras, et je n’ai plus envie de la libérer. Nous nous sommes jaugés les yeux dans les ...
    ... yeux pour enchainer avec la langue un baiser torride. Plaquée contre moi, elle a pu vérifier par elle-même que ma virilité n’avait pas trop souffert de sa maladresse. Cet épisode avait rompu la glace entre nous ! Maman est venue se joindre à nos effusions. Mais comme le milieu aquatique n’est pas des plus pratiques pour ce genre d’exercice, nous sommes, tous les trois, sortis de l’eau pour continuer nos embrassades et nos câlineries sur le gazon. Et oui, malgré le soleil et la chaleur du midi il y a du gazon ici autour de notre piscine. Sur nos collines nous sommes déjà en altitude et les nuits plus fraîches permettant à l’herbe de se régénérer. C’est aussi un des héritages positifs de mon père : Quand il voulait quelque chose, il y mettait les moyens, et là il souhaitait avoir du gazon comme à son club de golf… Ma mère, une fois veuve, même si elle a retiré assez vite son alliance, elle a conservé en l’état : la maison et… le jardinier. Je n’ai aucune ambigüité au sujet de ce dernier, c’est un vieux monsieur passionné par son métier et déjà pas mal occupé à l’entretient de la végétation de notre propriété. De plus, il voue toujours un fétichisme presque féodal à « Monsieur » trop tôt disparu ! Fort de cette parenthèse herbacée et paternelle, revenons à notre batifolage. Si au début nos relations restaient conventionnelles, sur la bouche, les corps roulant dans la pelouse. Très vite, il a été nécessaire d’étendre les surfaces de contact, les lèvres et les joues ne suffisaient ...
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