Nicolas (1) - Histoires de Sexe

Nicolas (1)

... pas. Car se rouler un patin à plus que deux bouche n’est pas évident, donc pour la troisième il faut se trouver d’autres points de chute… Profitant que les femmes étaient partie goulument dans un grand câlin, J’ai commencé à embrasser le cou de maman puis à la galipette suivante c’est un sein de notre visiteuse, assaisonné de quelques brins d’herbe, qui s’est présenté devant ma bouche… Délicieuse friandise que la propriétaire semblait enchantée de faire partager, en m’indiquant par de doux frémissements que d’autres parties de son anatomie allaient être jalouses si je ne leur faisais pas subir le même traitement. C’est lorsque ma langue imprudemment, après avoir embrassé le ventre est venue goûter les petites oreilles de chair qui s’échappaient effrontément du pubis de la dame qu’un très sensuel « Ahah » de celle-ci à interrompu tout notre doux batifolage. Maman curieuse s’est relevée du câlin en cours pour observer l’événement, tandis que, passée sa surprise, Anne d’une main fébrile m’appuyait sur la tête pour m’encourager à continuer. Après un moment d’hésitation, maman a pris le parti de l’observation caressant les corps enlacés, passant de la poitrine de son amie à mon membre déployé. Ma partenaire, décidée à m’aider dans mon initiative, s’était renversée sur le dos, les jambes écartées pour m’ouvrir le plus large passage et me permettre d’explorer en pleine lumière tous les replis charnus de son intimité. Ma langue curieuse s’attardait sur son clitoris bien dur, puis ...

... pénétrait plus profondément dans les chairs maintenant inondées de secrétions odorantes. Je suis encouragé d’une ondulation du bassin et de caresses dans les cheveux d’une main moite. Des pressions nerveuses sur le cuir chevelu m’indiquent lorsque je stimule des parties plus stratégiques. Elle s’avère hyper sensible de ces endroits et accompagne son plaisir de râles très expressifs. Maman vraiment curieuse, ne voulant rien perdre de ce se passait, massait maintenant exclusivement la poitrine généreuse qui frétillait devant elle. Tant pis pour mon bâton délaissé, mais si occupé que j’étais, je ne m’en suis même pas trop rendu compte ! Et puis peut-être avait-elle besoin de se nourrir de l’exubérance d’une autre femme pour guérir ses propres complexes… Et la tournure des événements n’allait pas la décevoir. Anne ondulait et râlait sous mes caresses, j’alternais des stimulations de son bouton avec des coups de langue et des prises en bouche de ses généreuses lèvres charnues parfumées ses secrétions envoutantes. D’une main je m’aidais de deux doigts pour agacer son intérieur, de l’autre, je lui caressais tendrement son ventre frémissant. Je me faisais un régal de la douceur de sa peau et de la suavité de son jus… La fébrilité de sa main dans les cheveux, ainsi que l’accélération de ses mouvements de bassins m’encourageait dans ma démarche, je sentais que j’étais sur la bonne voie, d’une jouissance qui approchait. Ma partenaire, maintenant, d’un dos de main se caressait la bouche, et ...