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Changement de rôle !
Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,
... chaleur des cuisses pour aller sucer mon mari. Je montre à notre proie que nous sommes complices. Que la bite que je gobe jusqu’aux couilles est une gourmandise que je vais partager avec elle. Je n’insiste pas trop. Il ne faut pas qu’elle se ressaisisse. Je sais toutes les pensées qui peuvent se bousculer dans un moment comme cela. Marc écarte encore plus les cuisses pour bien se placer. Il est prêt, la queue dirigée d’une main vers la fente luisante. D’un geste, je lui fais signe de ne pas avancer plus. Je ne saurais dire pourquoi. Probablement une solidarité de femme. Ce n’est pas une femme comme les autres. Les autres, accompagnées de leur mari ou pas, savent et désirent. C’est toute une série de circonstances qu’un destin farceur a créé et qui nous a permis d’allonger cette femme mûre sur notre lit. Et si c’était pour l’entendre dire oui ? L’entendre renier ses principes de bourgeoise guindée ? Je m’allonge à côté d’elle. Elle me regarde. Je me penche vers elle. — Marc a envie de toi. Il te l’a montré. Et toi tu as envie ? Tu veux qu’il te prenne ? Ici ? Maintenant ? Elle respire fort. Elle ferme les yeux. La réalité lui fait peur, mais le « oui » est assez fort pour que mon mari en soit le destinataire. Un soupir accompagne la possession. Marc s’avance maintenant en terrain conquis. Les pubis se heurtent. Déjà mon mari montre son impatience. Il a compris que cette femme veut tout contrôler, mais il va lui montrer qu’il n’est pas François, un mari aux ordres, mais un ...
... homme libre. Il la bourre sans retenue. Elle n’a jamais dû être secouée comme lui le fait. Moi je participe en lui caressant les seins et frottant son clitoris que Marc me laisse accessible en se cambrant en arrière. Elle gémit. Elle soupire. Les yeux toujours cachés derrière ses paupières qui sont son dernier rempart d’une réalité qui la submerge. Elle jouit. Elle se cambre. Gronde. Pose sa main sur la mienne pour m’imposer un rythme plus soutenu. Elle jouit. Dieu que c’est bon de la voir ainsi. Je croise le regard de Marc. Comme moi, il pense à un certain jour. Que de chemin parcouru ! Nous avons amené une femme dans notre lit par la rouerie, utilisant les opportunités improbables. Marc se libère en elle. Son jus l’inonde. Elle doit en ressentir la chaleur, le flot discontinu que la bite propulse au plus profond de sa matrice. Le retour à la réalité est un moment délicat. L’excitation est passée. Elle se retrouve sur le lit avec deux étrangers. Je la câline doucement. Marc dépose un baiser délicat sur les lèvres avec « Merci, c’était très bon » comme si c’est elle qui l’avait attiré. Je l’aide à enlever la robe. Je lui passe ses habits. — S’il vous plaît, il ne faut pas que François sache. Marc sourit : — Moi je ne lui dirai pas. Mais tu devrais le rejoindre et te faire pardonner, même s’il ne sait pas. Une petite baise, par exemple. Une bonne pipe avant de le chevaucher. Et se saisissant de sa petite culotte qu’elle s’apprête à remettre. — Je la garde en souvenir. Tu vas voir, ...