1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... quelque chose. Tu sais bien, les bijoux. Attends, je vais les chercher. Pendant qu’il fouille dans un tiroir, Éloïse me questionne du regard, mais je ne dis rien, goûtant à l’avance la surprise. Il revient. Il tient dans la main deux pendentifs. — Des boucles d’oreille ? questionne Éloïse.— Non, des bijoux à tétons. Tu sais comment ça marche ?— Non.— Je peux te montrer si tu veux.— Oui. Erreur fatale. Marc lui explique : — Tu vois, on presse ici. L’anneau s’ouvre. Il faut y glisser le téton. Les tiens sont longs, ce sera facile. Ensuite en relâchant la pince, l’anneau se referme. Marc se saisit d’un téton. Il le caresse. Elle le regarde. Paralysée. Inconsciente de ce qu’il fait. Enfin une inconscience qui ne dure pas. — Mais. Marc. Tu… Trop tard. Le premier téton est étiré pour recevoir la pince et son pendentif. — Regarde comme c’est beau. François va adorer. Mais le coquin continue. Le second téton a droit à un traitement spécial. Caresse de deux doigts et bouche avide. Elle ne comprend pas ce qui lui arrive. — Arrête ! Tu… Non… ça m’excite… Trop tard. Mon mari a la main. — Tu es magnifique. Tu as vu, chérie, comme cela lui va bien. Chaque mouvement d’Éloïse fait balancer les bijoux et je sais que leur poids participe à l’excitation. Elle regarde sa poitrine. Elle regarde Marc qui est en face. Lui, la fixant dans les yeux comme un serpent hypnotise sa proie, fait le pas qui l’amène tout contre elle. Il pose ses lèvres sur les siennes. Elle ne recule pas, d’ailleurs elle ...
    ... ne pourrait pas avec le lit derrière elle. Il l’embrasse. Ses mains emprisonnent la tête de sa proie pour transformer ce baiser en un ardent échange. Il se décolle d’elle pour laisser passer une main qui caresse un sein puis descend vers le bas. La robe n’est pas un obstacle. Il suffit de la pousser de la main, une main qui se plaque contre le pubis. Elle sursaute. Elle veut parler, mais sa bouche est toujours prisonnière. Et puis Marc saisit une main d’Éloïse et la plaque sur son propre sexe. Il doit bander. Marc peut démarrer très vite si cela lui plaît. Chacun palpe le sexe de l’autre. Il la pousse pour qu’elle s’allonge, la retenant de ses bras. Elle est sur le lit, alanguie. Marc me fait un clin d’œil et pendant qu’il se déshabille, je plonge entre les cuisses pour aller y goûter le fruit défendu. Je sais que nous avons gagné lorsque sous mes caresses la belle écarte un peu plus les cuisses. Je la lutine, prenant bien soin de m’arrêter avant son plaisir. Juste l’exciter pour lui rendre indispensable la bite que Marc expose maintenant à son regard. Son pubis est très bombé avec des petites lèvres ondulées que je titille avec ma langue. Elle a la « coiffure » de son époque, grand triangle de poils taillés au-dessus d’une chatte bien dégagée. Elle ne mouille pas vraiment et pourtant elle apprécie. C’est une évidence. Marc est nu, la bite tendue contre son ventre. Dans le miroir, je vois qu’Éloïse le regarde. Elle l’a vue au repos, la voici en représentation. Je quitte la ...
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