1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... fauteuil. La scène est étonnante. Autant par sa sensualité que par l’attitude d’Éloïse. Ce n’est pas la femme forte, la DRH, l’épouse qui rabroue son mari. Notre partie de la soirée dernière, la nuit avec son mari, bien entendu sa faiblesse de ce matin avec nous et le début d’obéissance à ce qui était somme toute, juste une suggestion de Marc pour qu’elle baise François ont dû la déstabiliser. — C’est Abdou.— Abdou ?— L’homme de ménage dans nos bureaux. Il passe deux fois par semaine en fin de journée pour vider les corbeilles puis pour faire le ménage. ********** J’ai fait mettre François devant moi. La porte est assez ouverte pour profiter de la scène. Je susurre à son oreille : — Tu es au courant ? Il tourne la tête vers moi. Son visage montre une totale incompréhension. En l’espace de quelques secondes, il découvre une femme qui n’est pas la sienne. « Non », il fait de la tête avant de revenir vers le couple. ********** — Et alors ?— Il est beau comme un Dieu, un jeune Dieu noir, grand, fort, toujours souriant. Ses dents font d’une blancheur éclatante. Il respire la joie de vie.— Tu l’as déjà vu à poil, c’est pour ça. Il est bien monté !— Non, non, jamais. Il porte une combinaison comme celle qu’on m’a donnée avant-hier. Tu ne peux pas comprendre. Non, c’est un pur fantasme.— Tu pourrais en parler avec Maryse, elle en connaît un bout sur la question.— Ah. Mais Éloïse semble partie dans son fantasme. Une main caresse sa poitrine, l’autre a trouvé le chemin de son ...
    ... entrecuisse. — Oui, caresse-toi. Pense à cet Abdou. Elle se caresse. Elle fléchit même les jambes pour mieux trouver sa féminité. Marc parle si doucement, comme pour ne pas réveiller une somnambule, que nous entendons à peine. Elle fait oui de la tête. Encore oui, à manifestement une autre question. Et puis nous voyons Marc, discrètement aller dans mon placard coquin pour y prélever un bandeau. Il revient, parle à l’oreille d’Éloïse, la pousse pour qu’elle s’assoit sur le lit et lui met le bandeau. — Pourquoi tu…— Chut. Écoute-moi. Nous entendons mieux, car j’ai poussé François un peu plus dans la chambre. Elle ne peut plus nous voir. Marc si ! Et en souriant, il nous fait une « chut » de la main. — Tu le vois, il entre. Pas de réponse, mais il continue : — Il te salue. Tu lui réponds d’un bonsoir un peu sec avec le ton que tu utilises pour masquer ton trouble.— Oui, c’est ça.— Il avance. Se penche pour ramasser la corbeille. Mais il s’arrête en chemin. Il vient de voir sous le bureau que ta jupe est relevée, que tu n’as pas de culotte et que ta main te caresse. Il se redresse. Te fixe longuement cherchant dans ton regard un accord. Il ne peut prendre le risque de se tromper. Ce serait trop grave. Une femme seule dans son bureau ! La DRH en plus ! Tu baisses les yeux. Tu as honte, mais tu les relèves et tu souris très légèrement. Il comprend. Il contourne le bureau. Tu le suis du regard. Avec précaution il pose une main sur le dos de ton fauteuil pour le faire pivoter. Tu sens cette ...
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