1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... bouffée de chaleur ? Ce réflexe que tu retiens, de tirer sur ta jupe ?— Oui. Il est devant moi. J’ai honte et pourtant j’enlève ma main qui couvrait ma fente.— C’est ça. Il comprend. Alors, un pas en arrière tu le vois descendre cette longue fermeture éclair. C’est comme un long strip-tease… Éloïse sourit, certainement du souvenir de la veille ! — Il dégage une épaule. Puis l’autre. Les longues manches doivent être tirées. On voit de la transpiration sur son torse. Il ne porte rien dessous si ce n’est un slip qui le moule. Tu ne bouges pas. Tu n’oses faire un geste qui pourrait être mal interprété et qui le ferait fuir. Le slip descend. La verge est en demi-érection, déjà plus en repos sur les bourses, pas encore le mandrin dur que ton imagination avait construit. Pendant toute cette description assénée d’une voix calme, douce, qui laisse l’esprit vagabonder pour suivre le canevas qu’il propose, lui-même se déshabille totalement. — Tu la vois ? Tu peux être fière. En moins d’une minute, juste par ta présence et cette caresse découverte par Abdou, le jeune homme bande.— Oui. Le oui est noyé dans un soupir. Éloïse n’a pas cessé de se caresser pendant tout ce monologue. Manifestement une première jouissance s’annonce. — Il fait un pas vers toi. Ses jambes touchent le bord de ton fauteuil et tu écartes les cuisses pour lui laisser la place. As-tu conscience que tu te comportes comme une salope, comme une femme qui ne sait pas se contrôler, pire, qui est impatiente.— Oui, c’est ...
    ... bon de ne pas penser. C’est plus qu’une confession. Cette femme passe son temps à vouloir tout contrôler, autant sa vie professionnelle que sa vie personnelle finissant par diriger son mari et repoussant tout au fond de sa conscience des désirs qu’elle aurait peur de libérer. Et elle avoue cette souffrance. — Il se cambre et d’une main dirige son sexe vers ta bouche. Il frotte son gland contre ses lèvres qui ont plus l’habitude d’ordonner que d’obéir. Marc fait ce qu’il lui dit. — Tu… Oui… Elle a ouvert la bouche, même pas protesté de la réalité de la queue qui se glisse en elle. — Tu le sens. Elle ne peut que dire un petit oui de la tête. — Il est de plus en plus gros. Tu le lèches. Tu le suces. Tu fais de ton mieux pour satisfaire cet homme. Mais il est si excité qu’il t’étouffe. Un instant tu as peur qu’il répande sa crème dans ta gorge. Un reste de lucidité te fait réaliser qu’il n’est pas protégé. Mais il ne te laisse plus libre. Ses mains enserrent ta tête. Elles l’immobilisent et il te baise avec sa queue, sans retenue. Marc reproduit son scénario. Éloïse est immobilisée par les mains, mais contrairement au fantasme raconté, elle pourrait s’en libérer. — Tu sens son gland tout au fond de ta gorge. Il te fait tousser, cracher, mais tu ne le refuses pas. Le grognement est imperceptible, bruit étouffé dès que produit. Mais Marc arrête. Éloïse tousse, de la salive s’écoule de ses lèvres. Le visage a changé. De la bourgeoise propre sur elle, il ne reste pas grand-chose. — Tu ...
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