Changement de rôle !
Datte: 29/07/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
couleurs,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
vacances,
fsoumise,
miroir,
BDSM / Fétichisme
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
... es rassurée. Il n’a pas juté dans ta bouche. Mais il ne veut pas en rester là. Toi non plus d’ailleurs. Tu as déjà tout imaginé avec cet homme, mais il n’entre pas dans ton jeu. Il a une revanche à prendre sur ces femmes qui le toisent de haut. Ces bourgeoises dont certaines n’ont pas peur de vouloir l’attirer dans leur lit. Sous des airs de jeune homme, il a de l’expérience. Il te fait sortir de ton fauteuil. Oh, pas brutalement, mais en te guidant. Il te fait mettre sur le sol, à genoux, puis il te guide à quatre pattes. Mais cela ne lui suffit pas encore il veut que ton visage touche le sol, cette moquette qu’il passe tant d’heures à nettoyer et que toi tu ne remarques même pas. Éloïse est coopérative. François et moi nous approchons un peu plus. Les miroirs nous renvoient maintenant nos images. François est en stupeur. On peut le comprendre. Cette femme qui se laisse guider pour se placer en chienne, la croupe offerte, les cuisses écartées dans un réflexe de salope. Une femelle qui se cache derrière un bandeau. — Il passe sa main sur ta chatte. « Tu mouilles salope », dit Abdou. Il n’est plus l’employé, il est le maître. Tu entends l’espace d’une seconde le bruit d’un sachet qu’on déchire et qui tombe devant tes yeux. Un préservatif. Ouf, te voici rassurée. Il presse son gland sur ta fente. Il le pousse. Le lubrifiant du latex fait son office. À moins que ce soit toi qui es déjà si humide, alors que d’habitude tu dois te lubrifier ou laisser ton mari t’enduire de ...
... salive.— Ohhhhhhhhhhhhh.— Oui, c’est facile. Tu es grande ouverte et la bite que tu as entrevue et mesurée à l’aune de ta bouche semble se glisser dans de la crème.— Ohhhhh.— C’est bon, hein salope ? T’aimes cela ? Tu te croyais au-dessus de tout cela. Dis-lui que tu aimes. Que tu fantasmais sur lui. Que tu seras toujours disponible pour lui. Au bureau ou ailleurs, pourvu qu’il te baise comme une femelle et pas comme une bourgeoise… On ne sait plus qui d’Abdou ou de Marc est censé baiser Éloïse. La scène est forte. Le mari semble figé. Nous avons peut-être fait une erreur. Je me colle contre lui, place ma tête à côté de la sienne. — C’est beau, hein ? je demande, attentive à sa réaction et en laissant une main descendre vers son bas-ventre. Il sursaute. J’y découvre un pantalon déformé. Ouf, au moins la scène l’excite. Le couple semble avoir dépassé le temps de la parole. Maintenant c’est celui de l’action, de la baise brute, des sensations qui submergent, des claquements de peau, de ce bruit si caractéristique de la bite qui pistonne un chemin détrempé. Plus de mots distincts, mais une litanie de sons expulsés au rythme de la queue qui avance un peu plus à chaque poussée. La jouissance est là. Celle d’Éloïse reste silencieuse. La réalisation d’un fantasme qu’elle n’avait sûrement pas imaginé aller si loin, à moins que son esprit… ********** « Rappelle-toi », me dit ma petite voix désormais complice dans tous nos jeux amoureux. « Oui, rappelle-toi de cette fille qui est entrée dans ...