1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... s’il ose s’approcher d’elle avec des « pensées lubriques ». Avec lui, elle fait le minimum. S’il a le culot d’acheter un peu de lingerie légèrement coquine, elle la refuse sous le prétexte qu’elle n’est pas une pute.— Je m’excuse. Le ton a changé. Elle est mal à l’aise. — Et elle qui se dit bien éduquée, bourgeoise jusqu’au ridicule, se permet de traiter nos hôtes de pervers, de vicieux. Mais tu vois, eux au moins, ils partagent tout. Ils assument ensemble leurs désirs. Et Dieu que je les envie. Tu veux que je te dise, ma chérie, eh bien j’ai rêvé que tu prennes un amant. Oh oui, un amant qui te décoincerait. Et dans ce rêve j’en récoltais au moins des miettes. Des miettes que ta culpabilité te dirait d’en rapporter à ton mari. Un mari, fidèle, amoureux à qui il arrive de se masturber avec une de tes culottes.— Je suis désolée, mais…— Tais-toi donc. Moi, je veux tout te dire. J’ai adoré lorsque cet après-midi tu es revenue dans la chambre, tout excitée, pas étonnant qu’il ait neigé, que tu m’aies sucé et que tu m’as chevauché. Je sais maintenant que mon rêve n’était pas que le fruit de mon imagination, que tu sortais des bras de nos amis et que si j’avais trouvé ta chatte tout humide c’est qu’elle avait encore des traces du foutre de Marc… Comme actuellement. Éloïse suit son regard. Elle découvre les souillures. Et encore elle ne voit pas son visage défait avec encore des traces de salive. Elle cherche à cacher son intimité. — Enlève cette main. Assume. Bon Dieu, assume. Et ...
    ... arrête de me parler de « chantage ». Assume ! Elle obéit. Il est vrai que le ton de son mari ne supporte pas la réplique. — Oh, juste une chose avant que je parte. De toute façon cela ne changera rien. As-tu couché avec ce noir ? As-tu couché avec un autre que moi ?— Non, non. Jamais je n’aurais… Elle se rend compte de son état et de ce que nous avons vu. Sauf ici avec… Marc et… Maryse. François ne parle plus. Il regarde la pièce, sourit en voyant tout ce qui est répandu sur le lit. — Je vais vous laisser. Merci pour votre accueil. Je te laisse la voiture. Je prendrai un taxi. Éloïse semble frappée de stupeur. Et puis elle réagit : — François ! François ! Elle contourne le lit. Attrape son mari par le coude : — Non, non. Ne pars pas. Je t’aime. Je t’aime. Je vais changer. Je te promets.— Non, tu ne changeras pas. Oh, quelques jours, voire un mois, mais après tu vas redevenir froide comme la glace.— Je ferai tout ce que tu veux. J’achetai de la lingerie, des robes… Je ferai…— Mais ce sont les putes qui portent ça… Pardon Maryse ! François provoque sa femme. — Non, non. J’étais idiote. C’est Maryse qui a raison.— Tu mens.— Non, non… Éloïse cherche du secours autour d’elle. Elle voit Marc, nu comme elle, témoin parfait de ce qui vient de se passer entre eux dans cette chambre. — J’ai… Elle baisse les yeux. — Quoi ? demande François.— J’ai aimé avec Marc.— Un moment d’égarement pas plus. Tu avais beaucoup bu.— Non, ce n’est pas vrai. J’ai aimé avec Marc tout de suite, mais aussi ...
«12...171819...23»