1. Changement de rôle !


    Datte: 29/07/2019, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, Collègues / Travail vacances, fsoumise, miroir, BDSM / Fétichisme 69, préservati, pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... ce matin avec eux. Tu as bien vu avec toi ?— Je reconnais.— Tu vois que je peux changer.— Mais on va rentrer à Paris, tu vas reprendre le boulot et ce n’est pas une partie de jambes en l’air, si agréable fût-elle, qui va te rendre plus câline et surtout moins directive pour tout. Non, je rentre. Éloïse est au bord des larmes. — Mais toi tu peux… Avec Maryse… Elle m’a dit qu’elle te trouvait mignon.— Tu vois, déjà tu veux décider pour moi.— Non, non, c’est juste pour dire que si tu ne pars pas… C’est à ce moment que je décide à intervenir. — François, je peux vous parler un moment ? Il me regarde. Éloïse aussi avec manifestement l’espoir que je lui dise que je veux bien coucher avec son mari. Mais elle se trompe. Ce n’est pas mon but. Enfin pas seulement. Je l’entraîne dans le couloir. — Reste ici, dis-je à la femme d’un ton sec. Tiens, en attendant range le bordel que tu as fait dans mes affaires. Elle ne pipe mot et se dirige vers l’armoire. Dans le couloir je parle à François : — Avant de te proposer une solution, je voudrais que tu me répondes franchement : as-tu vraiment rêvé qu’elle prenne un amant ?— Oui.— De surprendre ta femme avec Marc, qu’est-ce que cela t’a fait ?— De la colère d’abord.— Jalousie.— Non, non, de la colère de savoir qu’on pouvait tirer de telles choses d’elle. Colère de ne pas avoir su…— Et ensuite ?— J’ai aimé. D’ailleurs, tu as pu le constater. Je souris. — Oui, j’aurais bien aimé pouvoir aller plus loin.— Ah !— Rien n’est perdu, mais en tout ...
    ... cas pas par une suggestion de ta femme.— Tu vois, elle cherche toujours à diriger.— C’est vrai, mais, qu’est-ce que tu risques à rester. À moins que je ne plaise pas.— Bien sûr que si, Maryse. Voyons ! Qui n’aurait pas envie de toi !— Alors reste. Il suffit de dire à Éloïse que tu restes. Que tu lui accordes toute sa liberté et que toi aussi. Tu as vu ce que Marc a été capable de lui soutirer. Nous connaissons bien ce genre de femmes. Elles font partie de celles qui aiment être dominées pour forcer leurs talents. Tu sais j’en parle en connaissance de cause… Si tu m’avais connue avant que nous rencontrions ceux qui nous ont tout appris.— J’ai du mal à imaginer.— Tu ne me connais pas vraiment. J’étais pire que ta femme.— Vraiment, alors les miracles existent.— Laisse-nous t’en apporter la preuve !— D’accord. Nous revenons dans la chambre. Tout a déjà été rangé. Une vraie petite ménagère. — Maryse m’a convaincu de rester. Deux jours. À toi de me montrer que tu as changé. Elle reprend des couleurs. — Merci. Merci mon chéri. Tu ne le regretteras pas.— C’est surtout Maryse qu’il faut remercier.— Oui, bien sûr. Merci Maryse. Elle avance, m’embrasse sur la joue, tout de même un peu empruntée. — Chez nous les pervers, ce n’est pas un remerciement, ce bisou de gamine, lance Marc légèrement en retrait. Maryse se tourne vers lui, commence à dire :— Je m’excuse pour ce que j’ai dit. Je ne le pensais pas…— Oh, c’est oublié. Mais si ton mari s’est laissé convaincre de rester, ce n’est ...
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